A ce jour, tous les déblocages de la STE MORBIHANNAISE DE NAVIGATION sont en attente.
Tant que nous n'aurons pas reçu l'accord de votre entreprise, les déblocages resteront en attente.
Restant à votre disposition pour tout complément d’information, nous vous prions d’agréer l’expression de nos sincères salutations.
Elodie
Relations Salariés
CIC EPARGNE SALARIALE
mercredi 27 février 2008
lundi 25 février 2008
CIC, Le Point :
Le déblocage "Sarko" concerne les sommes acquises au titre de la paticipation entre 2003 et 2007.
Ces sommes seront disponible après la signature d'un accord au sein du CE de la SMN comme lors du précedent déblocage.
Je contacte donc les collègues qui restent au CE SMN afin qu'ils s'activent pour provoquer une réunion au plus vite ( pour l'instant HR Gros est en vacances)
Il faut savoir aussi que cette disposition est valable jusqu'a Juin 2008 ce qui laisse à chacun le temps de se "retourner".
amicalement,
Claude.
Ces sommes seront disponible après la signature d'un accord au sein du CE de la SMN comme lors du précedent déblocage.
Je contacte donc les collègues qui restent au CE SMN afin qu'ils s'activent pour provoquer une réunion au plus vite ( pour l'instant HR Gros est en vacances)
Il faut savoir aussi que cette disposition est valable jusqu'a Juin 2008 ce qui laisse à chacun le temps de se "retourner".
amicalement,
Claude.
samedi 23 février 2008
Réponse du CIC par mail :
Bonjour,
Dans votre cas un accord négocié et collectif
> est nécessaire pour effectuer le
> déblocage.
> La société vous alertera dès lors dans un délai de
> deux mois à compter de la publication de
> la loi.
> Dès que cet accord sera donné, votre déblocage sera
> effectué.
>
>
> Restant à votre disposition pour tout complément
> d'information, nous vous prions d'agréer
> l'expression de nos sincères salutations.
>
> Emilie
> Relations Salariés
> CIC EPARGNE SALARIALE
> Tél. 08.91.67.70.07 (0,225 € / min)
Dans votre cas un accord négocié et collectif
> est nécessaire pour effectuer le
> déblocage.
> La société vous alertera dès lors dans un délai de
> deux mois à compter de la publication de
> la loi.
> Dès que cet accord sera donné, votre déblocage sera
> effectué.
>
>
> Restant à votre disposition pour tout complément
> d'information, nous vous prions d'agréer
> l'expression de nos sincères salutations.
>
> Emilie
> Relations Salariés
> CIC EPARGNE SALARIALE
> Tél. 08.91.67.70.07 (0,225 € / min)
jeudi 21 février 2008
Question CIC :
Salut, Ayant fait ma demande de retrait de participation CIC par internet le 14 Fevrier, je n'arrive plus à retrouver "l'opperation en attente de traitement" sur mon compte, suis je le seul? Je ne peut plus réeffectuer la manip...Est-ce normal, je n'arrive pas à les joindres sur la ligne en 08...J'ai laissé un e-mail au CIC il y a 2 jours : sans réponse,
Bref,
J'fait quoi pour etre sur que mon opération est en cours (a part consulter ma banque tout les jours ) ?
j'ai un doute!
Bref,
J'fait quoi pour etre sur que mon opération est en cours (a part consulter ma banque tout les jours ) ?
j'ai un doute!
mercredi 20 février 2008
Pouvoir d'achat :
Pouvoir d’achat : place aux négociations salariales
La loi sur le pouvoir d’achat, insuffisante et inégalitaire, vient d’être adoptée. La CFDT souhaite dynamiser les négociations salariales de branche pour contrer l’augmentation du coût de la vie.
La loi sur le pouvoir d’achat, promulguée le 9 février, s’est révélée conforme aux annonces faites fin novembre. La monétarisation des comptes épargne-temps et le déblocage de la participation ne sont pas à la hauteur des attentes et des besoins exprimés par la population. L’indexation des loyers sur la hausse des prix et la réduction, à un mois, du dépôt de garantie demandé par les bailleurs vont dans le bon sens, mais le gouvernement laisse de côté la question des aides au logement. Globalement, « ces mesures auront un effet mineur sur la relance du pouvoir d’achat », regrette Laurence Laigo, secrétaire nationale. Les mesures qui concernent le temps de travail, le rachat des RTT, la défiscalisation des heures supplémentaires, « oublient les chômeurs, les employés des petites entreprises, ceux en temps partiel et les ouvriers en annualisation du temps de travail. Elles reposent sur une logique de gré à gré dont la mise en œuvre va remettre en cause les accords collectifs de modulation du temps de travail, dénonce la secrétaire nationale. Par ailleurs, même les salariés relevant de la loi ne sont pas sûr d’en bénéficier : à défaut d’accord collectif, c’est l‘employeur qui décide d’accéder ou non à votre demande en fonction des avantages qu’il y trouve », ajoute-t-elle. Pour justifier la faiblesse des politiques publiques en la matière, le président de la République, le Premier ministre et le ministre du Budget répètent à l’envi que les caisses de l’État sont vides, voire « plus que vides ». Pourtant, « si l’entreprise est au centre du dispositif salarial, elle ne peut pas organiser seule la redistribution des richesses et corriger les insuffisances des politiques économiques et sociales », indique Laurence Laigo. L’absence d’orientation et d’impulsion économique du gouvernement n’en paraît que plus flagrante.
La conditionnalité des allégements de charges. Sur le plan des négociations salariales, la situation se révèle tout aussi compliquée, en raison des allégements de charges sur les salaires allant jusqu’à 1,6 Smic, qui « contraignent les négociations dans un périmètre étroit. L’association Smic-allégements de charges tend à faire du Smic un pôle d’attraction des minima professionnels et à entraver l’ouverture de l’éventail hiérarchique et les déroulements de carrière. Les employeurs utilisent pleinement cette combinaison pour limiter la progression des salaires ». Et les propositions du Conseil d’orientation de l’emploi sur la conditionnalité des allégements de charge sont jugés trop modestes par la CFDT. La DGT (Direction générale du travail) vient d’établir le bilan 2007 des négociations salariales de branche. Il en ressort que les trois quarts des 162 branches de plus de 5 000 salariés disposent d’une grille de salaires démarrant au Smic, contre 60 % fin 2005. Un progrès, certes, mais le rapport relève également l’effet yoyo de l’augmentation du Smic et de son rattrapage par les négociations de branches, et le phénomène continu du tassement des grilles. Il est donc urgent de désolidariser la hausse du Smic de l’évolution des grilles salariales. « C’est en stimulant la négociation de branche que l’on parviendra à augmenter les minima. »
« Plusieurs pays européens font coexister un salaire minimum interprofessionnel et des négociations de branches dynamiques », observe Laurence Laigo. En France, plusieurs branches connaissent de réelles situations de blocage, dont l’alimentation, le commerce de détail et de gros, les grands magasins, les librairies. Selon l’Insee, en 2006, « le salaire net moyen des ouvriers a légèrement diminué après prise en compte de la hausse des prix à la consommation, et celui des employés stagne », après la hausse du Smic en 2005. Et ce, malgré une conjoncture que l’institut qualifie de « relativement favorable » : hausse de 2 % du PIB, baisse du chômage et création de 229 000 emplois. Il est normal, dans ce contexte, que les salariés manifestent leur impatience, comme l’a montré le succès de la journée d’action du 1er février dans la grande distribution (lire l'article). Plusieurs fédérations ont pris des initiatives pour mobiliser leurs militants sur ce thème, parfois en lien avec les fédérations d’autres organisations syndicales. Les secteurs du verre, des télécommunications, du transport routier notamment, s’organisent pour porter des revendications communes. L’augmentation du coût de la vie frappe tout le monde, sans distinction d’âge, de statut, de situation personnelle. Et les mesures décidées par le gouvernement ne concernent qu’une partie de la population. C’est pourquoi la CFDT continue de porter ses revendications pour l’instauration d’une véritable sécurisation des parcours. L’accord sur la modernisation du marché du travail est un premier pas. Elle demande également des mesures qui permettent « d’alléger le poids des dépenses contraintes ». Dans la fonction publique, elle demande « une véritable obligation annuelle de négocier les salaires », dans un contexte de dialogue social plus que difficile. Dans le privé, il devient nécessaire de « garantir, par la négociation, un socle d’augmentations générales qui assure au minimum le pouvoir d’achat des bas salaires », et d’« encadrer les augmentations individuelles en s’appuyant sur la relation entre les classifications et les salaires ». Élément essentiel du niveau de vie, tous les salariés devront avoir accès à la complémentaire santé et à la prévoyance, à l’issue d’une négociation interprofessionnelle. La CFDT demande également qu’aucun travail à temps partiel ne soit rémunéré sous le seuil de pauvreté, actuellement de 817 € par mois.n
La loi sur le pouvoir d’achat, insuffisante et inégalitaire, vient d’être adoptée. La CFDT souhaite dynamiser les négociations salariales de branche pour contrer l’augmentation du coût de la vie.
La loi sur le pouvoir d’achat, promulguée le 9 février, s’est révélée conforme aux annonces faites fin novembre. La monétarisation des comptes épargne-temps et le déblocage de la participation ne sont pas à la hauteur des attentes et des besoins exprimés par la population. L’indexation des loyers sur la hausse des prix et la réduction, à un mois, du dépôt de garantie demandé par les bailleurs vont dans le bon sens, mais le gouvernement laisse de côté la question des aides au logement. Globalement, « ces mesures auront un effet mineur sur la relance du pouvoir d’achat », regrette Laurence Laigo, secrétaire nationale. Les mesures qui concernent le temps de travail, le rachat des RTT, la défiscalisation des heures supplémentaires, « oublient les chômeurs, les employés des petites entreprises, ceux en temps partiel et les ouvriers en annualisation du temps de travail. Elles reposent sur une logique de gré à gré dont la mise en œuvre va remettre en cause les accords collectifs de modulation du temps de travail, dénonce la secrétaire nationale. Par ailleurs, même les salariés relevant de la loi ne sont pas sûr d’en bénéficier : à défaut d’accord collectif, c’est l‘employeur qui décide d’accéder ou non à votre demande en fonction des avantages qu’il y trouve », ajoute-t-elle. Pour justifier la faiblesse des politiques publiques en la matière, le président de la République, le Premier ministre et le ministre du Budget répètent à l’envi que les caisses de l’État sont vides, voire « plus que vides ». Pourtant, « si l’entreprise est au centre du dispositif salarial, elle ne peut pas organiser seule la redistribution des richesses et corriger les insuffisances des politiques économiques et sociales », indique Laurence Laigo. L’absence d’orientation et d’impulsion économique du gouvernement n’en paraît que plus flagrante.
La conditionnalité des allégements de charges. Sur le plan des négociations salariales, la situation se révèle tout aussi compliquée, en raison des allégements de charges sur les salaires allant jusqu’à 1,6 Smic, qui « contraignent les négociations dans un périmètre étroit. L’association Smic-allégements de charges tend à faire du Smic un pôle d’attraction des minima professionnels et à entraver l’ouverture de l’éventail hiérarchique et les déroulements de carrière. Les employeurs utilisent pleinement cette combinaison pour limiter la progression des salaires ». Et les propositions du Conseil d’orientation de l’emploi sur la conditionnalité des allégements de charge sont jugés trop modestes par la CFDT. La DGT (Direction générale du travail) vient d’établir le bilan 2007 des négociations salariales de branche. Il en ressort que les trois quarts des 162 branches de plus de 5 000 salariés disposent d’une grille de salaires démarrant au Smic, contre 60 % fin 2005. Un progrès, certes, mais le rapport relève également l’effet yoyo de l’augmentation du Smic et de son rattrapage par les négociations de branches, et le phénomène continu du tassement des grilles. Il est donc urgent de désolidariser la hausse du Smic de l’évolution des grilles salariales. « C’est en stimulant la négociation de branche que l’on parviendra à augmenter les minima. »
« Plusieurs pays européens font coexister un salaire minimum interprofessionnel et des négociations de branches dynamiques », observe Laurence Laigo. En France, plusieurs branches connaissent de réelles situations de blocage, dont l’alimentation, le commerce de détail et de gros, les grands magasins, les librairies. Selon l’Insee, en 2006, « le salaire net moyen des ouvriers a légèrement diminué après prise en compte de la hausse des prix à la consommation, et celui des employés stagne », après la hausse du Smic en 2005. Et ce, malgré une conjoncture que l’institut qualifie de « relativement favorable » : hausse de 2 % du PIB, baisse du chômage et création de 229 000 emplois. Il est normal, dans ce contexte, que les salariés manifestent leur impatience, comme l’a montré le succès de la journée d’action du 1er février dans la grande distribution (lire l'article). Plusieurs fédérations ont pris des initiatives pour mobiliser leurs militants sur ce thème, parfois en lien avec les fédérations d’autres organisations syndicales. Les secteurs du verre, des télécommunications, du transport routier notamment, s’organisent pour porter des revendications communes. L’augmentation du coût de la vie frappe tout le monde, sans distinction d’âge, de statut, de situation personnelle. Et les mesures décidées par le gouvernement ne concernent qu’une partie de la population. C’est pourquoi la CFDT continue de porter ses revendications pour l’instauration d’une véritable sécurisation des parcours. L’accord sur la modernisation du marché du travail est un premier pas. Elle demande également des mesures qui permettent « d’alléger le poids des dépenses contraintes ». Dans la fonction publique, elle demande « une véritable obligation annuelle de négocier les salaires », dans un contexte de dialogue social plus que difficile. Dans le privé, il devient nécessaire de « garantir, par la négociation, un socle d’augmentations générales qui assure au minimum le pouvoir d’achat des bas salaires », et d’« encadrer les augmentations individuelles en s’appuyant sur la relation entre les classifications et les salaires ». Élément essentiel du niveau de vie, tous les salariés devront avoir accès à la complémentaire santé et à la prévoyance, à l’issue d’une négociation interprofessionnelle. La CFDT demande également qu’aucun travail à temps partiel ne soit rémunéré sous le seuil de pauvreté, actuellement de 817 € par mois.n
mardi 19 février 2008
CIC, Modalités de la loi pour le pouvoir d'achat :
Les modalités de la loi pour le pouvoir d'achat
* Cette mesure ne concerne que la participation affectée avant le 31 décembre 2007,
Versements volontaires, intéressement et abondement ne sont pas concernés par la mesure.
* Vous ne pouvez effectuer qu'un seul déblocage dans le cadre des mesures Sarkozy,
* Le montant du déblocage autorisé est plafonné à 10 000 € net,
* Les avoirs investis en CCB ou en fond d'actionnariat sont soumis à accord d'entreprise,
Une seule demande de déblocage étant autorisée, nous vous recommandons d'attendre de connaître la décision de votre entreprise avant d'effectuer votre demande, si vous avez également des avoirs dans des FCPE diversifiés.
* Les avoirs investis dans le cadre d'un PERCO ne sont pas éligibles,
* Le montant du déblocage ne sera pas soumis à l'impôt sur le revenu.
* Cette mesure ne concerne que la participation affectée avant le 31 décembre 2007,
Versements volontaires, intéressement et abondement ne sont pas concernés par la mesure.
* Vous ne pouvez effectuer qu'un seul déblocage dans le cadre des mesures Sarkozy,
* Le montant du déblocage autorisé est plafonné à 10 000 € net,
* Les avoirs investis en CCB ou en fond d'actionnariat sont soumis à accord d'entreprise,
Une seule demande de déblocage étant autorisée, nous vous recommandons d'attendre de connaître la décision de votre entreprise avant d'effectuer votre demande, si vous avez également des avoirs dans des FCPE diversifiés.
* Les avoirs investis dans le cadre d'un PERCO ne sont pas éligibles,
* Le montant du déblocage ne sera pas soumis à l'impôt sur le revenu.
Caisse Nationale d'Action Syndicale :
Communiqué de presse n°51 du 16 novembre 2007
Déclaration de Gaby Bonnand, secrétaire national
La caisse nationale d'action syndicale (CNAS)
Une fierté pour la CFDT.
Les adhérents CFDT disposent d’une caisse alimentée par une part de la cotisation et contrôlée par un comité de gestion. Ses statuts sont adoptés par le congrès et sont publics.
La CNAS (Caisse Nationale d'Actions Syndicale) a été créée en 1974 par la CFDT. Elle lui permet d’assurer un certain nombre de service à ses adhérents.
Une assurance « vie professionnelle » : les adhérents CFDT bénéficient d'une assistance juridique qui leur permet d'être défendus devant une juridiction pénale, civile ou administrative, lorsqu' ils sont mis en cause personnellement dans leur activité professionnelle.
Une aide à la défense des droits : les adhérents peuvent également, grâce à cet outil, mener des recours juridiques pour défendre leurs droits devant les conseils de prud’hommes, le tribunal administratif ou encore les tribunaux d’instance ou de sécurité sociale. Ils disposent pour cela du soutien d’un avocat ou d’un défenseur agréé. C’est le cas aussi pour les militants victimes de répression syndicale.
Une caisse de grève : elle permet de percevoir à partir du troisième jour de grève une indemnité fixée aujourd’hui de 16 € par jour.
La CNAS est alimentée par un prélèvement de 8,6% sur la cotisation. En 2006, cela représente une somme de 5,4 millions d'euros.
Nos règles internes prévoient que le montant de la réserve doit correspondre à l'indemnisation de 10 jours de grève pour chaque adhérent, soit un montant actuel de 128 millions d'euro.
La CFDT est fière d'avoir construit cet outil au fil des années. La mise en place de ce service aux adhérents, service digne des grands syndicats européens, est assis sur le principe de solidarité, fondement du syndicalisme.
Toute comparaison avec de le fonds antigrève de l’UIMM relève donc du fantasme et de la malveillance.
Déclaration de Gaby Bonnand, secrétaire national
La caisse nationale d'action syndicale (CNAS)
Une fierté pour la CFDT.
Les adhérents CFDT disposent d’une caisse alimentée par une part de la cotisation et contrôlée par un comité de gestion. Ses statuts sont adoptés par le congrès et sont publics.
La CNAS (Caisse Nationale d'Actions Syndicale) a été créée en 1974 par la CFDT. Elle lui permet d’assurer un certain nombre de service à ses adhérents.
Une assurance « vie professionnelle » : les adhérents CFDT bénéficient d'une assistance juridique qui leur permet d'être défendus devant une juridiction pénale, civile ou administrative, lorsqu' ils sont mis en cause personnellement dans leur activité professionnelle.
Une aide à la défense des droits : les adhérents peuvent également, grâce à cet outil, mener des recours juridiques pour défendre leurs droits devant les conseils de prud’hommes, le tribunal administratif ou encore les tribunaux d’instance ou de sécurité sociale. Ils disposent pour cela du soutien d’un avocat ou d’un défenseur agréé. C’est le cas aussi pour les militants victimes de répression syndicale.
Une caisse de grève : elle permet de percevoir à partir du troisième jour de grève une indemnité fixée aujourd’hui de 16 € par jour.
La CNAS est alimentée par un prélèvement de 8,6% sur la cotisation. En 2006, cela représente une somme de 5,4 millions d'euros.
Nos règles internes prévoient que le montant de la réserve doit correspondre à l'indemnisation de 10 jours de grève pour chaque adhérent, soit un montant actuel de 128 millions d'euro.
La CFDT est fière d'avoir construit cet outil au fil des années. La mise en place de ce service aux adhérents, service digne des grands syndicats européens, est assis sur le principe de solidarité, fondement du syndicalisme.
Toute comparaison avec de le fonds antigrève de l’UIMM relève donc du fantasme et de la malveillance.
dimanche 17 février 2008
Le Telegramme, Peche/Sécurité, extrait :
Pêche. Ses propositions pour renforcer la sécurité
Balises de détresse, renouvellement de la flotte... : Georges Tourret, directeur de l’Institut maritime de prévention (IMP) de Lorient, chargé d’une mission sur la sécurité à la pêche, doit rendre sa copie en juillet. Rencontre.
Comment définir votre mission ? Elle n’est pas confiée à un homme isolé. Je dois animer un groupe de travail, où il y aura toutes les composantes qui concourent à l’amélioration de la santé et de la sécurité des marins pêcheurs. Cette mission sera conduite avec le grand souci de prendre en compte les positions des professionnels de la pêche. Ceux de la construction navale seront étroitement associés.
Que peut-on en attendre ? Nous n’arrivons pas dans un paysage vierge. Le ministère chargé de la sécurité maritime et celui des pêches maritimes ont déployé un plan de sécurité à la pêche qui s’est traduit par des actions sur le terrain mais aussi par des contraintes normatives. Le très important décret du 21 août 2007 a ainsi imposé le port systématique du VFI, le vêtement de travail à flottabilité intégrée. Il ne s’agit donc pas de faire une nouvelle mouture du plan de sécurité à la pêche mais de prendre son relais, là où cela bute
Sur quoi cela bute-t-il ? Le problème, à l’heure actuelle, n’est pas seulement de résoudre la récupération des naufragés ou leur maintien à la surface, c’est de prévoir aussi des navires à bord desquels ils ne soient pas sujets à de tels accidents ! La question est donc de savoir non seulement comment obtenir un renouvellement de la flotte mais, en plus, qu’il soit pertinent... Il faut des navires sûrs et sains.
Les bateaux de pêche sont trop vieux ? Tous les accidents ne sont pas corrélés avec un problème de vieillissement de la flotte, mais globalement, on voit bien que c’est l’un des facteurs déterminant. De nombreux bateaux, conçus il y a longtemps, ont été adaptés. On ne peut continuer à faire les pêches d’aujourd’hui et de demain avec des bateaux d’hier et d’avant-hier.
La balise individuelle est-elle la panacée ? Il n’y a pas de panacée... Quel matériel mettre en place ? Comment établir, avant l’obligation - qui, un jour ou l’autre, viendra -, une persuasion pour que les professionnels s’équipent de ce matériel et que ce matériel soit adapté à leurs conditions de travail ? Par ailleurs, les balises de détresse ou de positionnement n’ont d’intérêt que si elles permettent de retrouver quelqu’un et que ce quelqu’un soit resté en surface. Il y a donc une corrélation très forte entre la nécessité de ces moyens de positionnement et l’obligation de porter des aides à la flottabilité en situation exposée. C’est clair, pas de balise sans VFI ! On n’a pas le même type de VFI selon le type de pêche. On n’aura pas le même type de balises selon le métier que l’on fait. La balise, il en faut une pour tout le monde. Mais ce ne sera probablement pas la même pour tout le monde.
Balises de détresse, renouvellement de la flotte... : Georges Tourret, directeur de l’Institut maritime de prévention (IMP) de Lorient, chargé d’une mission sur la sécurité à la pêche, doit rendre sa copie en juillet. Rencontre.
Comment définir votre mission ? Elle n’est pas confiée à un homme isolé. Je dois animer un groupe de travail, où il y aura toutes les composantes qui concourent à l’amélioration de la santé et de la sécurité des marins pêcheurs. Cette mission sera conduite avec le grand souci de prendre en compte les positions des professionnels de la pêche. Ceux de la construction navale seront étroitement associés.
Que peut-on en attendre ? Nous n’arrivons pas dans un paysage vierge. Le ministère chargé de la sécurité maritime et celui des pêches maritimes ont déployé un plan de sécurité à la pêche qui s’est traduit par des actions sur le terrain mais aussi par des contraintes normatives. Le très important décret du 21 août 2007 a ainsi imposé le port systématique du VFI, le vêtement de travail à flottabilité intégrée. Il ne s’agit donc pas de faire une nouvelle mouture du plan de sécurité à la pêche mais de prendre son relais, là où cela bute
Sur quoi cela bute-t-il ? Le problème, à l’heure actuelle, n’est pas seulement de résoudre la récupération des naufragés ou leur maintien à la surface, c’est de prévoir aussi des navires à bord desquels ils ne soient pas sujets à de tels accidents ! La question est donc de savoir non seulement comment obtenir un renouvellement de la flotte mais, en plus, qu’il soit pertinent... Il faut des navires sûrs et sains.
Les bateaux de pêche sont trop vieux ? Tous les accidents ne sont pas corrélés avec un problème de vieillissement de la flotte, mais globalement, on voit bien que c’est l’un des facteurs déterminant. De nombreux bateaux, conçus il y a longtemps, ont été adaptés. On ne peut continuer à faire les pêches d’aujourd’hui et de demain avec des bateaux d’hier et d’avant-hier.
La balise individuelle est-elle la panacée ? Il n’y a pas de panacée... Quel matériel mettre en place ? Comment établir, avant l’obligation - qui, un jour ou l’autre, viendra -, une persuasion pour que les professionnels s’équipent de ce matériel et que ce matériel soit adapté à leurs conditions de travail ? Par ailleurs, les balises de détresse ou de positionnement n’ont d’intérêt que si elles permettent de retrouver quelqu’un et que ce quelqu’un soit resté en surface. Il y a donc une corrélation très forte entre la nécessité de ces moyens de positionnement et l’obligation de porter des aides à la flottabilité en situation exposée. C’est clair, pas de balise sans VFI ! On n’a pas le même type de VFI selon le type de pêche. On n’aura pas le même type de balises selon le métier que l’on fait. La balise, il en faut une pour tout le monde. Mais ce ne sera probablement pas la même pour tout le monde.
jeudi 14 février 2008
Compte-rendu de la réunion G.A.S.P.E :
Compte-rendu de la réunion G.A.S.P.E. Nantes le 11 février 2008
CFDT : Philippe FERRONI – Sauveur FELE
Pour la CFDT l’ordre du jour devait suivre la logique de l’extension des Conventions Collectives et donc l’ordre suivant :
1) Lever l’ensemble des exclusions portées au décret d’extension de 2007.
2) Puis Négociations Annuelles Obligatoires (NAO) 2008
Exclusions
Le GASPE : Nous a proposé une nouvelle rédaction des Articles frappés d’exclusion par le décret d’extension.
La CFDT : Sur les Articles, cela n’a posé aucun problème. La CFDT de son coté avait déjà effectué ce travail qui se limite à supprimer ou rajouter des dispositions, afin de rendre les Articles conformes au Code du travail.
Champs d’application
Toutefois la CFDT veut élargir le champ d’application des Conventions Collectives aux Compagnies privées ou d’une activité similaire des transports de passagers et fret, elle demande la modification de l’Article 2 alinéa 1.
Le GASPE : Contrairement à la réunion de décembre n’apparaît plus vraiment déterminé. Après quelques flottements dus à la pression qu’exerceraient certains Groupement d’Armateurs Privés dont Armateur de France, le GASPE consent à ne pas se limiter aux Armements de service public.
La CFDT : Souhaite également considérer le cas des Armateurs qui se disent « non concernés par les Conventions Collectives » puisqu’ils effectuent des visites et ne desservent aucun port.
Le GASPE : Qui n’avait apparemment pas vu cette particularité prend note de la demande de modification.
Démarche Administrative
Le GASPE : Appelle par téléphone l’Inspection du Travail de la Place Fontenoy, pour se faire confirmer la démarche à suivre pour la validation de l’ensemble des modifications qui seront apportées.
L’Inspection du Travail précise que la démarche est de signer un avenant qui sera adressé aux syndicats représentatifs, puis à l’Inspection du Travail de la Place Fontenoy, avant d’être présenté à la Commission nationale de la négociation collective de la marine marchande puis au Ministère du travail. Délai minimal 6 mois !!!
Compte-rendu de la réunion G.A.S.P.E. Nantes le 11 février 208 (suite)
Barème de rémunération (Annexe 1)
Le GASPE : Reste sur sa position initiale. L’obligation de mettre ces salaires au niveau minimum légal doit être maîtrisée pour ne pas mettre les (PME) Petites et Moyennes Entreprises en difficultés. Le GASPE propose d’incorporer 40 % de l’indemnité de nourriture et 50 € dans le salaire de base pour arriver au SMIC Terrestre.
La CFDT : est contre l’incorporation de l’indemnité de nourriture dans le salaire de base. Elle fait remarquer que ces « employeurs » continuent d’abuser leurs marins, s’ils avaient eu simplement l’intention de suivre l’évolution du SMIC ils n’éprouveraient aucune difficulté aujourd’hui. D’autre part, la CFDT est contre car le calcul du taux horaire est fait hors nourriture donc selon le GASPE à 7,31 € de l’heure contre 8,44 au SMIC.
Le GASPE : Déclare que si on n’est pas d’accord pour incorporer 40 % de nourriture dans le salaire la discussion est close.
Il précise toutefois que le ministère de la Place Fontenoy valide la possibilité d’incorporer jusqu’au ¾ de l’indemnité de nourriture dans le salaire de base en référence au SMIC maritime du marin non nourrit par l’Armateur.
La CGT : Indique que le Décret d’extension renvoi au Salaire Minimum Interprofessionnel de Croissance, donc au SMIC « terrestre » et qu’il n’est pas fait référence à un SMIC maritime.
Pour la CFDT : Le calcul du SMIC maritime pour un marin non nourrit par l’Armateur est, le taux horaire du SMIC terrestre, moins les ¾ du 8ème de l’indemnité de nourriture 13,95 € référence CMAF (Caisse Maritime d’Allocations Familiales) ramené à l’heure.
Exemple : Taux horaire SMIC terrestre 8.44 € Indemnité de nourriture 13,95 €
les ¾ du 8ème de l’indemnité de nourriture = 13,95 € / 8 = 1,74 x 3 /4 = 1,31 / 8h = 0,16
le taux horaire du SMIC maritime = 8,44 – 0,16 = 8,28 €
Le GASPE : Ne voit aucune contre-indication à ce que le SMIC « terrestre » soit atteint avec 40 % de nourriture, ni à ce que le taux horaire soit calculé hors nourriture. Le GASPE est totalement en désaccord avec le calcul CFDT du taux horaire du SMIC maritime.
Nous avons débattu longuement sans tomber d’accord si ce n’est de recourir à l’arbitrage du ministère pour affirmer le mode de calcul du SMIC maritime. La CFDT a, c’est vrai, totalement monopolisé la parole au point que le GASPE a voulu lui imposer le silence. C’est nous méconnaître et, comme a répliqué Philippe FERRONI sans tenir compte de cette attitude désobligeante.
« Il plaisante, je ne me suis pas levé à 5 heures du matin pour me taire »
Compte-rendu de la réunion G.A.S.P.E. Nantes le 11 février 208 (suite et fin)
N.A.O 2008 - Négociations Annuelles Obligatoires
La CFDT s’y attendait, le GASPE n’a pas résisté à lancer le seul sujet qui l’intéressait dans cette réunion, entreprendre les NAO de 2008.
Le GASPE : Enonce l’inflation 2007 et notamment le taux supérieur aux prévisions en novembre et décembre qui fausse le budget prévisionnel des Entreprises. Il propose pour une inflation de 2,5 % indice INSEE hors tabac, une revalorisation des salaires de 1,9%.
La CFDT : Avant de quitter la table a rappelé que préalablement à toutes négociations, elle demande que le GASPE tienne ses engagements pris vis à vis de la CFDT en début 2007, entre autres, la mise en conformité de la grille de rémunération.
Pour mémoire : Considérant les prescriptions juridiques du ministère, les trois plus bas niveaux de rémunération (matelots, matelots qualifiés et graisseurs, ouvriers mécaniciens et timoniers) sont contraires à la législation, donc sans fondement.
Le GASPE : Nous a rapidement rappelé par téléphone pour une nouvelle proposition à 2,2 %.
La CFDT : a noté l’évolution, et répondu que sans la levée de toutes les exclusions, même avec une proposition à 2,5 % elle ne signera aucun accord.
Pour la CFDT aucun Syndicat professionnel digne de ce nom ne peut signer un accord sur des bases non conformes à la législation du travail.
l’indemnité de Nourriture journalière toutes positions Ce sujet n’a pas été évoqué.
Prime de fin d’année Ce sujet n’a pas été évoqué.
Prime d’ancienneté Ce sujet n’a pas été évoqué.
Temps d’attentes Ce sujet n’a pas été évoqué.
Philippe FERRONI – Sauveur FELE
CFDT : Philippe FERRONI – Sauveur FELE
Pour la CFDT l’ordre du jour devait suivre la logique de l’extension des Conventions Collectives et donc l’ordre suivant :
1) Lever l’ensemble des exclusions portées au décret d’extension de 2007.
2) Puis Négociations Annuelles Obligatoires (NAO) 2008
Exclusions
Le GASPE : Nous a proposé une nouvelle rédaction des Articles frappés d’exclusion par le décret d’extension.
La CFDT : Sur les Articles, cela n’a posé aucun problème. La CFDT de son coté avait déjà effectué ce travail qui se limite à supprimer ou rajouter des dispositions, afin de rendre les Articles conformes au Code du travail.
Champs d’application
Toutefois la CFDT veut élargir le champ d’application des Conventions Collectives aux Compagnies privées ou d’une activité similaire des transports de passagers et fret, elle demande la modification de l’Article 2 alinéa 1.
Le GASPE : Contrairement à la réunion de décembre n’apparaît plus vraiment déterminé. Après quelques flottements dus à la pression qu’exerceraient certains Groupement d’Armateurs Privés dont Armateur de France, le GASPE consent à ne pas se limiter aux Armements de service public.
La CFDT : Souhaite également considérer le cas des Armateurs qui se disent « non concernés par les Conventions Collectives » puisqu’ils effectuent des visites et ne desservent aucun port.
Le GASPE : Qui n’avait apparemment pas vu cette particularité prend note de la demande de modification.
Démarche Administrative
Le GASPE : Appelle par téléphone l’Inspection du Travail de la Place Fontenoy, pour se faire confirmer la démarche à suivre pour la validation de l’ensemble des modifications qui seront apportées.
L’Inspection du Travail précise que la démarche est de signer un avenant qui sera adressé aux syndicats représentatifs, puis à l’Inspection du Travail de la Place Fontenoy, avant d’être présenté à la Commission nationale de la négociation collective de la marine marchande puis au Ministère du travail. Délai minimal 6 mois !!!
Compte-rendu de la réunion G.A.S.P.E. Nantes le 11 février 208 (suite)
Barème de rémunération (Annexe 1)
Le GASPE : Reste sur sa position initiale. L’obligation de mettre ces salaires au niveau minimum légal doit être maîtrisée pour ne pas mettre les (PME) Petites et Moyennes Entreprises en difficultés. Le GASPE propose d’incorporer 40 % de l’indemnité de nourriture et 50 € dans le salaire de base pour arriver au SMIC Terrestre.
La CFDT : est contre l’incorporation de l’indemnité de nourriture dans le salaire de base. Elle fait remarquer que ces « employeurs » continuent d’abuser leurs marins, s’ils avaient eu simplement l’intention de suivre l’évolution du SMIC ils n’éprouveraient aucune difficulté aujourd’hui. D’autre part, la CFDT est contre car le calcul du taux horaire est fait hors nourriture donc selon le GASPE à 7,31 € de l’heure contre 8,44 au SMIC.
Le GASPE : Déclare que si on n’est pas d’accord pour incorporer 40 % de nourriture dans le salaire la discussion est close.
Il précise toutefois que le ministère de la Place Fontenoy valide la possibilité d’incorporer jusqu’au ¾ de l’indemnité de nourriture dans le salaire de base en référence au SMIC maritime du marin non nourrit par l’Armateur.
La CGT : Indique que le Décret d’extension renvoi au Salaire Minimum Interprofessionnel de Croissance, donc au SMIC « terrestre » et qu’il n’est pas fait référence à un SMIC maritime.
Pour la CFDT : Le calcul du SMIC maritime pour un marin non nourrit par l’Armateur est, le taux horaire du SMIC terrestre, moins les ¾ du 8ème de l’indemnité de nourriture 13,95 € référence CMAF (Caisse Maritime d’Allocations Familiales) ramené à l’heure.
Exemple : Taux horaire SMIC terrestre 8.44 € Indemnité de nourriture 13,95 €
les ¾ du 8ème de l’indemnité de nourriture = 13,95 € / 8 = 1,74 x 3 /4 = 1,31 / 8h = 0,16
le taux horaire du SMIC maritime = 8,44 – 0,16 = 8,28 €
Le GASPE : Ne voit aucune contre-indication à ce que le SMIC « terrestre » soit atteint avec 40 % de nourriture, ni à ce que le taux horaire soit calculé hors nourriture. Le GASPE est totalement en désaccord avec le calcul CFDT du taux horaire du SMIC maritime.
Nous avons débattu longuement sans tomber d’accord si ce n’est de recourir à l’arbitrage du ministère pour affirmer le mode de calcul du SMIC maritime. La CFDT a, c’est vrai, totalement monopolisé la parole au point que le GASPE a voulu lui imposer le silence. C’est nous méconnaître et, comme a répliqué Philippe FERRONI sans tenir compte de cette attitude désobligeante.
« Il plaisante, je ne me suis pas levé à 5 heures du matin pour me taire »
Compte-rendu de la réunion G.A.S.P.E. Nantes le 11 février 208 (suite et fin)
N.A.O 2008 - Négociations Annuelles Obligatoires
La CFDT s’y attendait, le GASPE n’a pas résisté à lancer le seul sujet qui l’intéressait dans cette réunion, entreprendre les NAO de 2008.
Le GASPE : Enonce l’inflation 2007 et notamment le taux supérieur aux prévisions en novembre et décembre qui fausse le budget prévisionnel des Entreprises. Il propose pour une inflation de 2,5 % indice INSEE hors tabac, une revalorisation des salaires de 1,9%.
La CFDT : Avant de quitter la table a rappelé que préalablement à toutes négociations, elle demande que le GASPE tienne ses engagements pris vis à vis de la CFDT en début 2007, entre autres, la mise en conformité de la grille de rémunération.
Pour mémoire : Considérant les prescriptions juridiques du ministère, les trois plus bas niveaux de rémunération (matelots, matelots qualifiés et graisseurs, ouvriers mécaniciens et timoniers) sont contraires à la législation, donc sans fondement.
Le GASPE : Nous a rapidement rappelé par téléphone pour une nouvelle proposition à 2,2 %.
La CFDT : a noté l’évolution, et répondu que sans la levée de toutes les exclusions, même avec une proposition à 2,5 % elle ne signera aucun accord.
Pour la CFDT aucun Syndicat professionnel digne de ce nom ne peut signer un accord sur des bases non conformes à la législation du travail.
l’indemnité de Nourriture journalière toutes positions Ce sujet n’a pas été évoqué.
Prime de fin d’année Ce sujet n’a pas été évoqué.
Prime d’ancienneté Ce sujet n’a pas été évoqué.
Temps d’attentes Ce sujet n’a pas été évoqué.
Philippe FERRONI – Sauveur FELE
mardi 12 février 2008
CIC, Déblocage de la participation validé :
Loi pour le pouvoir d'achat
La loi sur le déblocage exceptionnel des participations a été publiée au journal officiel Samedi 09 Février 2008.
La nouvelle mesure gouvernementale permet aux salariés de débloquer de manière anticipée les sommes attribuées au titre des avoirs de participation (hors PERCO) affectés sur les comptes avant le 31/12/2007.
Un accord négocié et collectif est nécessaire pour les sommes affectées en compte courant bloqué et en titres d'entreprise.
Ce déblocage, possible jusqu'au 30 juin 2008, est limité à un seul retrait plafonné à 10 000 € et ne sera pas soumis à l'impôt sur le revenu.
Concrétement...
A partir du 14 Février, vous pourrez faire votre demande de déblocage.
Par internet :
Privilégiez cette procédure pour sa simplicité, sa rapidité et un suivi de l'opération en temps réel.
Cette opération sera facturée 5 €.
N'oubliez pas de vérifier vos coordonnées postales et bancaires avant de valider votre saisie.
Par courrier :
Pour un traitement dans les meilleurs délais, vous devez nous envoyer la demande d'opération jointe à votre relevé de fin d'année qui vous parviendra dans les jours à venir à l'adresse suivante :
CIC Épargne Salariale
63 Chemin Antoine Pardon
69814 Tassin La Demi Lune Cedex
Cette opération sera facturée 15 €.
La loi sur le déblocage exceptionnel des participations a été publiée au journal officiel Samedi 09 Février 2008.
La nouvelle mesure gouvernementale permet aux salariés de débloquer de manière anticipée les sommes attribuées au titre des avoirs de participation (hors PERCO) affectés sur les comptes avant le 31/12/2007.
Un accord négocié et collectif est nécessaire pour les sommes affectées en compte courant bloqué et en titres d'entreprise.
Ce déblocage, possible jusqu'au 30 juin 2008, est limité à un seul retrait plafonné à 10 000 € et ne sera pas soumis à l'impôt sur le revenu.
Concrétement...
A partir du 14 Février, vous pourrez faire votre demande de déblocage.
Par internet :
Privilégiez cette procédure pour sa simplicité, sa rapidité et un suivi de l'opération en temps réel.
Cette opération sera facturée 5 €.
N'oubliez pas de vérifier vos coordonnées postales et bancaires avant de valider votre saisie.
Par courrier :
Pour un traitement dans les meilleurs délais, vous devez nous envoyer la demande d'opération jointe à votre relevé de fin d'année qui vous parviendra dans les jours à venir à l'adresse suivante :
CIC Épargne Salariale
63 Chemin Antoine Pardon
69814 Tassin La Demi Lune Cedex
Cette opération sera facturée 15 €.
Morbihannaise/Véolia, numéro d'appel, extrait :
Morbihannaise de navigation. Elle conserve son numéro d’appel
Nouvel épisode de la bataille judiciaire qui oppose le département du Morbihan à la Société morbihannaise de navigation depuis que cette dernière a perdu le marché de la desserte des îles.
Cette fois, c’est le conseil général, avec Veolia, qui assure depuis le 1 er janvier les transports vers Belle-Ile et Groix, qui attaquait la Morbihannaise devant le tribunal administratif de Rennes. Le département réclamait le transfert du numéro d’appel 0820.056.000, utilisé depuis des années par la Morbihannaise pour renseigner ses clients, vers le nouveau transporteur. Veolia se plaint, en effet, du déficit de notoriété de son propre numéro, 0820.056.156, qui entraînerait, selon lui, une perte de clientèle. Le juge des référés de Rennes a finalement donné raison à la Morbihannaise qui pourra conserver son numéro. Dans son ordonnance, il indique que le numéro ne fait pas partie de la délégation de service public et qu’il appartient en propre à la Morbihannaise. Le juge ajoute qu’il appartient à Veolia de faire la promotion de son propre numéro.
Nouvel épisode de la bataille judiciaire qui oppose le département du Morbihan à la Société morbihannaise de navigation depuis que cette dernière a perdu le marché de la desserte des îles.
Cette fois, c’est le conseil général, avec Veolia, qui assure depuis le 1 er janvier les transports vers Belle-Ile et Groix, qui attaquait la Morbihannaise devant le tribunal administratif de Rennes. Le département réclamait le transfert du numéro d’appel 0820.056.000, utilisé depuis des années par la Morbihannaise pour renseigner ses clients, vers le nouveau transporteur. Veolia se plaint, en effet, du déficit de notoriété de son propre numéro, 0820.056.156, qui entraînerait, selon lui, une perte de clientèle. Le juge des référés de Rennes a finalement donné raison à la Morbihannaise qui pourra conserver son numéro. Dans son ordonnance, il indique que le numéro ne fait pas partie de la délégation de service public et qu’il appartient en propre à la Morbihannaise. Le juge ajoute qu’il appartient à Veolia de faire la promotion de son propre numéro.
Brittany Ferries, un syndicaliste licencié...
Transport maritime
Licencié pour avoir alerté sur les conditions de sécurité !
Le 5 décembre 2007, Christian Leblond, syndicaliste CFDT élu du Comité d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail (CHSCT) de Brittany Ferries a écrit à son Président pour dénoncer les conditions désastreuses d’une traversée d’un ferry.
Ce courrier était à vocation interne mais la presse, par l’intermédiaire d’Ouest-France, en a fait état. La direction a accusé Christian Leblond d’avoir diffusé ce courrier à l’extérieur, ce qu’il nie, et d’avoir ainsi porté atteinte à l’image de l’entreprise. Elle le licencie pour ces motifs.
La FGTE-CFDT condamne fermement cette atteinte au droit syndical et s’étonne que cette entreprise, dont le siège est en Bretagne, ne se préoccupe pas, en premier lieu, de répondre aux questions de fond posées par la sécurité des passagers et du personnel. C’est pourtant bien la préoccupation de la responsabilité sociale d’une entreprise qui conforte l’image de celle-ci et non le licenciement d’un membre de CHST pour des faits relevant de l’exercice normal de ses fonctions.
Il est temps de revenir à la raison. La direction doit répondre aux questions de sécurité posées et réintégrer immédiatement Christian Leblond.
Licencié pour avoir alerté sur les conditions de sécurité !
Le 5 décembre 2007, Christian Leblond, syndicaliste CFDT élu du Comité d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail (CHSCT) de Brittany Ferries a écrit à son Président pour dénoncer les conditions désastreuses d’une traversée d’un ferry.
Ce courrier était à vocation interne mais la presse, par l’intermédiaire d’Ouest-France, en a fait état. La direction a accusé Christian Leblond d’avoir diffusé ce courrier à l’extérieur, ce qu’il nie, et d’avoir ainsi porté atteinte à l’image de l’entreprise. Elle le licencie pour ces motifs.
La FGTE-CFDT condamne fermement cette atteinte au droit syndical et s’étonne que cette entreprise, dont le siège est en Bretagne, ne se préoccupe pas, en premier lieu, de répondre aux questions de fond posées par la sécurité des passagers et du personnel. C’est pourtant bien la préoccupation de la responsabilité sociale d’une entreprise qui conforte l’image de celle-ci et non le licenciement d’un membre de CHST pour des faits relevant de l’exercice normal de ses fonctions.
Il est temps de revenir à la raison. La direction doit répondre aux questions de sécurité posées et réintégrer immédiatement Christian Leblond.
lundi 11 février 2008
Rapport Attali, extrait :
LE RAPPORT ATTALI PRÔNE LA FIN DES COMITES D’ENTREPRISE AFIN QUE LES TPE-PME RECUPERENT 4 % DE GAINS SUR LEUR MASSE SALARIALE !
Dans les 350 mesures « fleuves » du rapport ATTALI, la décision n°37, noyée dans la masse des mesures, ne manque pas d’originalité, « Assouplir les seuils sociaux ».
A en croire la commission, « Les seuils sociaux constituent aujourd’hui un frein à la croissance
et à la création d’emploi. À titre d’exemple, le passage de 49 à 50 salariés entraîne actuellement l’application de 34 législations et réglementations supplémentaires dont le coût représente 4 %
de la masse salariale ».
D’où la volonté de ces entreprises de rester, même artificiellement, sous la barre des 50 salariés.
Pour pallier à ce soi disant frein, la commission propose tout simplement la suppression des CE et des CHSCT dans les entreprises de moins de 100 salariés.
Pire encore, elle propose de mettre en place une représentation unique du personnel dans toutes les PME de moins de 250 salariés sous la forme d’un Conseil d’Entreprise qui cumulera les fonctions du CE, des DP, du CHSCT et des délégués syndicaux.
85 % des entreprises de transports sont des TPE-PME.
Dans le même temps le gouvernement a ouvert les négociations sur la représentativité dans les entreprises et particulièrement les TPE-PME, mais de qui se moque-t-on ! Puisque les salariés disposeront de 3 fois moins de représentants pour faire face à leurs patrons.
Pour l’UF Route il est inconcevable, même inimaginable, de voir les Institutions Représentatives du Personnel être réduites à leur plus stricte expression. Alors que sur ce sujet le but initial était de réfléchir à la représentativité des salariés des entreprises de moins de 10 salariés.
Décidément le social n’a pas la côte dans notre pays.
Jean AUROUX fondateur en 1982 de la loi du même nom sur le renforcement de droit syndical et des CE, doit ce dire, que décidément « on n’est trahi que par les siens ! »
Maxime DUMONT
Dans les 350 mesures « fleuves » du rapport ATTALI, la décision n°37, noyée dans la masse des mesures, ne manque pas d’originalité, « Assouplir les seuils sociaux ».
A en croire la commission, « Les seuils sociaux constituent aujourd’hui un frein à la croissance
et à la création d’emploi. À titre d’exemple, le passage de 49 à 50 salariés entraîne actuellement l’application de 34 législations et réglementations supplémentaires dont le coût représente 4 %
de la masse salariale ».
D’où la volonté de ces entreprises de rester, même artificiellement, sous la barre des 50 salariés.
Pour pallier à ce soi disant frein, la commission propose tout simplement la suppression des CE et des CHSCT dans les entreprises de moins de 100 salariés.
Pire encore, elle propose de mettre en place une représentation unique du personnel dans toutes les PME de moins de 250 salariés sous la forme d’un Conseil d’Entreprise qui cumulera les fonctions du CE, des DP, du CHSCT et des délégués syndicaux.
85 % des entreprises de transports sont des TPE-PME.
Dans le même temps le gouvernement a ouvert les négociations sur la représentativité dans les entreprises et particulièrement les TPE-PME, mais de qui se moque-t-on ! Puisque les salariés disposeront de 3 fois moins de représentants pour faire face à leurs patrons.
Pour l’UF Route il est inconcevable, même inimaginable, de voir les Institutions Représentatives du Personnel être réduites à leur plus stricte expression. Alors que sur ce sujet le but initial était de réfléchir à la représentativité des salariés des entreprises de moins de 10 salariés.
Décidément le social n’a pas la côte dans notre pays.
Jean AUROUX fondateur en 1982 de la loi du même nom sur le renforcement de droit syndical et des CE, doit ce dire, que décidément « on n’est trahi que par les siens ! »
Maxime DUMONT
vendredi 8 février 2008
Mise a l'eau du "Ile de Groix", photos de JF.C :
L’Ile de Groix mis à l’eau à Lanester
L’Ile de Groix a été construit par les chantiers Aker Yard, au Rohu, à Lanester. Sisterpship du Bangor, le bateau à passagers (46 m, 450 passagers) remplacera le Kreiz er Mor, promis à la retraite, sur la ligne Lorient-Groix. Le navire sera livré fin mai à son armateur, le conseil général du Morbihan.
L’Ile de Groix a été construit par les chantiers Aker Yard, au Rohu, à Lanester. Sisterpship du Bangor, le bateau à passagers (46 m, 450 passagers) remplacera le Kreiz er Mor, promis à la retraite, sur la ligne Lorient-Groix. Le navire sera livré fin mai à son armateur, le conseil général du Morbihan.
Réunion CE Compagnie Océane du 13 Fevrier :
Réunion du Comité d'Entreprise Mercredi 13 Février 2008 à 9h30, Quiberon :
Ordre du jour :
- Approbation du P.V de la réunion d'information du 17 Janvier
- Analyse des mutuelles avec une intervention de Mr Garsuault, Consultant spécialiste mutuelle
- Analyse des Plans Epargne Entreprises
- Questions diverses.
Si vous avez des questions à poser au CE, n'hésitez pas, avant Mercredi...
Ordre du jour :
- Approbation du P.V de la réunion d'information du 17 Janvier
- Analyse des mutuelles avec une intervention de Mr Garsuault, Consultant spécialiste mutuelle
- Analyse des Plans Epargne Entreprises
- Questions diverses.
Si vous avez des questions à poser au CE, n'hésitez pas, avant Mercredi...
jeudi 7 février 2008
Colision en mer, Bundesmarine Allemande :
A l'abordage ! La Bundesmarine a subi un pilonnage en règle de la presse après la diffusion, sur Internet, d'une vidéo montrant deux patrouilleurs entrant en collision au large du Liban. Il faut dire que la manoeuvre, dévoilée au grand jour par You Tube, n'a rien de glorieuse pour la flotte allemande. La scène se déroule par beau temps, lors d'un exercice, en avril 2007. La frégate Brandenburg est suivie par deux patrouilleurs lance-missiles du type 143A, déployés au sein de la force internationale de surveillance des côtes libanaises. Le bâtiment situé sur tribord arrière de la frégate abat soudain, passant à vive allure dans le sillage du Brandenbourg. La manoeuvre est, jusque là, très belle, sauf que le patrouilleur se retrouve alors à la perpendiculaire de son sistership, qui n'a pas modifié sa route pour l'éviter... Le premier patrouilleur, qui achève sa giration, tente de virer mais il est trop tard. Il ne parvient pas à redresser avant l'abordage.
Plusieurs mois ayant coulé sous la carène de ses navires, la Bundesmarine espérait que l'affaire ne s'ébruiterait pas trop. C'était sans compter avec le web, où la vidéo fait fureur. Ne pouvant nier l'importance de la collision, la marine a admis qu'elle avait été très coûteuse en réparations et précisé que cette erreur avait mis un terme à la carrière de certains officiers.
Mais ce n'est pas tout. La mésaventure rendue publique, sites d'information et journaux se sont penchés sur les accidents survenus l'an passé dans la flotte allemande. Et la collision au Liban serait loin d'être un cas isolé. Pas moins de 37 incidents ont été recensés, dont des coups de canon "accidentels" et même une frégate qui s'est purement, et simplement, tiré dessus lors d'une intervention technique sur sa tourelle de 76mm ! Il n'en fallait pas tant à la presse pour s'interroger publiquement sur la compétence des militaires et porter un coup sévère à l'image de cette marine qui, il y a un siècle, faisait la fierté du pays et tenait en respect toute l'Europe. Tirpitz, Hipper et autres Sheer doivent se retourner dans leurs tombes...
mercredi 6 février 2008
CIC Epargne Salariale, info :
Loi pour le pouvoir d'achat
La loi pour le pouvoir d'achat, dont l'article 5 permet un déblocage exceptionnel de la participation, a été adoptée le jeudi 31 janvier 2008.
Ce déblocage ne pourra pas intervenir avant la publication de la loi au journal officiel prévisible dans le courant de la deuxième quinzaine du mois de février.
Vous pourrez alors accéder à cette opération dans votre espace sécurisé pour les avoirs ne nécessitant pas la négociation d'un accord spécifique (accords dérogatoires, CCB et titres de l'entreprise).
La loi pour le pouvoir d'achat, dont l'article 5 permet un déblocage exceptionnel de la participation, a été adoptée le jeudi 31 janvier 2008.
Ce déblocage ne pourra pas intervenir avant la publication de la loi au journal officiel prévisible dans le courant de la deuxième quinzaine du mois de février.
Vous pourrez alors accéder à cette opération dans votre espace sécurisé pour les avoirs ne nécessitant pas la négociation d'un accord spécifique (accords dérogatoires, CCB et titres de l'entreprise).
mardi 5 février 2008
Assurance Maladie , 50 secondes de lecture...
ASSURANCE MALADIE 50 secondes de lecture à couper le souffle :
Pour combler le déficit de la Sécu , nos chers gouvernants ont trouvé que le mieux c'était encore de nous faire payer ...
a) Dorénavant, sur une consultation médicale, nous allons devoir verser 1 Euro,
b) Nous allons être hyper contrôlés lors de nos arrêts maladie,
c) Nous allons devoir consulter un généraliste avant de voir un spécialiste,
d) Pour tout traitement de plus de 91 EUR, nous en serons de 18 EUR de notre poche.
Toutes ces mesures sont destinées à combler le fameux trou qui est à ce jour de 11 milliards.
Or, savez-vous que :
a) Une partie des taxes sur le tabac, destinée à la Sécu n'est pas reversée : 7,8 milliards
b) Une partie des taxes sur l'alcool, destinée à la Sécu n'est pas reversée : 3,5 milliards
c) Une partie des primes d'assurances automobiles destinée à la Sécu n'est pas reversée : 1,6 milliard
d) La taxe sur les industries polluantes destinée à la Sécu n'est pas reversée : 1,2 milliard
e) La part de TVA destinée à la Sécu n'est pas reversée : 2 milliards
f) Retard de paiement à la Sécu pour les contrats aidés - 2,1 milliards
g) Retard de paiement par les entreprises - 1,9 milliards
En faisant une bête addition, on arrive au chiffre de 20 milliards d'Euros.
Conclusion, si les responsables de la Sécu et nos gouvernants avaient fait leur boulot efficacement et surtout honnêtement, les prétendus 11 milliards de trou seraient aujourd'hui 9 milliards d'excédent.
Ces chiffres sont issus du rapport des comptes de la Sécu.
Faites circuler ce message. A force de tourner, il arrivera peut-être un jour sur le bureau d'une tête pensante sensée passer son temps à gérer l'argent des contribuables.
PS : Si les pouvoirs publics étaient vraiment convaincus qu'il nous faut consommer 5 fruits et légumes par jour pour sauver notre santé et donc l'Assurance Maladie, ils supprimeraient la TVA sur ces produits !
Pour combler le déficit de la Sécu , nos chers gouvernants ont trouvé que le mieux c'était encore de nous faire payer ...
a) Dorénavant, sur une consultation médicale, nous allons devoir verser 1 Euro,
b) Nous allons être hyper contrôlés lors de nos arrêts maladie,
c) Nous allons devoir consulter un généraliste avant de voir un spécialiste,
d) Pour tout traitement de plus de 91 EUR, nous en serons de 18 EUR de notre poche.
Toutes ces mesures sont destinées à combler le fameux trou qui est à ce jour de 11 milliards.
Or, savez-vous que :
a) Une partie des taxes sur le tabac, destinée à la Sécu n'est pas reversée : 7,8 milliards
b) Une partie des taxes sur l'alcool, destinée à la Sécu n'est pas reversée : 3,5 milliards
c) Une partie des primes d'assurances automobiles destinée à la Sécu n'est pas reversée : 1,6 milliard
d) La taxe sur les industries polluantes destinée à la Sécu n'est pas reversée : 1,2 milliard
e) La part de TVA destinée à la Sécu n'est pas reversée : 2 milliards
f) Retard de paiement à la Sécu pour les contrats aidés - 2,1 milliards
g) Retard de paiement par les entreprises - 1,9 milliards
En faisant une bête addition, on arrive au chiffre de 20 milliards d'Euros.
Conclusion, si les responsables de la Sécu et nos gouvernants avaient fait leur boulot efficacement et surtout honnêtement, les prétendus 11 milliards de trou seraient aujourd'hui 9 milliards d'excédent.
Ces chiffres sont issus du rapport des comptes de la Sécu.
Faites circuler ce message. A force de tourner, il arrivera peut-être un jour sur le bureau d'une tête pensante sensée passer son temps à gérer l'argent des contribuables.
PS : Si les pouvoirs publics étaient vraiment convaincus qu'il nous faut consommer 5 fruits et légumes par jour pour sauver notre santé et donc l'Assurance Maladie, ils supprimeraient la TVA sur ces produits !
dimanche 3 février 2008
vendredi 1 février 2008
Communiqué CFDT, Rachat des jours de RTT :
Communiqué n°5 du 28 janvier 2008
Déclaration de Laurence Laigo, secrétaire nationale
Rachat des jours de RTT
Le gouvernement persiste dans l’erreur
Un amendement au projet de loi pour le pouvoir d’achat, adopté par le Sénat, soutenu par le gouvernement, prolonge la période pendant laquelle les jours de RTT et le compte épargne temps (CET) peuvent être monétisés.
La CFDT réaffirme que cette mesure est scandaleuse. Elle n’est en aucun cas la solution au problème de pouvoir d’achat. De plus, elle creuse les inégalités entre les salariés, ceux qui pourront accéder à la monétisation, une minorité, et ceux qui ne le pourront pas.
Enfin, encore une fois, le gouvernement encourage le gré à gré entre le salarié et son employeur. Il contrevient à la loi sur le dialogue social de janvier 2007 qui oblige l’Etat à saisir les partenaires sociaux avant toute réforme touchant aux relations de travail.
Déclaration de Laurence Laigo, secrétaire nationale
Rachat des jours de RTT
Le gouvernement persiste dans l’erreur
Un amendement au projet de loi pour le pouvoir d’achat, adopté par le Sénat, soutenu par le gouvernement, prolonge la période pendant laquelle les jours de RTT et le compte épargne temps (CET) peuvent être monétisés.
La CFDT réaffirme que cette mesure est scandaleuse. Elle n’est en aucun cas la solution au problème de pouvoir d’achat. De plus, elle creuse les inégalités entre les salariés, ceux qui pourront accéder à la monétisation, une minorité, et ceux qui ne le pourront pas.
Enfin, encore une fois, le gouvernement encourage le gré à gré entre le salarié et son employeur. Il contrevient à la loi sur le dialogue social de janvier 2007 qui oblige l’Etat à saisir les partenaires sociaux avant toute réforme touchant aux relations de travail.
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