Veolia Transport, Les Ferries :

Les ferries

Veolia Transport gère des ferries très différents les uns des autres, dans des contextes variés et dans plusieurs pays. Cette diversité renforce l'adaptabilité et la capacité de gestion des équipes de Veolia Transport à toutes les situations. Gestion des déplacements, complémentarité et cohérence entre les différents modes de transport, l'activité maritime et fluviale de Veolia Transport s'inscrit dans une logique globale, en réponse aux besoins des collectivités locales et des voyageurs.

De la Norvège à la France, en passant par les îles Anglo-Normandes, notre expérience est multiple, avec des bateaux allant du plus lourd au plus léger.

La desserte de sites spécifiques est leur mission principale

Les ferries permettent l'accès à des lieux particuliers ou difficilement accessibles, mais également à des activités de loisirs comme :

• la liaison entre des sites écologiques.
• le transport urbain de ports à ports.
• les croisières.
• la desserte des îles sans pont.
• la liaison entre communes du bord de mer.

Une expérience internationale

L'activité maritime de Veolia Transport est essentiellement concentrée en Europe du Nord, Norvège et Suède. En 2005, Veolia Transport a intensifié sa présence sur le marché norvégien en se propulsant, par acquisitions, parmi les dix plus importants opérateurs de Norvège. La prise de participation majoritaire du groupe dans le capital de Helgelandske, un opérateur exerçant au nord du pays, porte la flotte totale du groupe à 69 ferries transportant 9.3 millions de voyageurs par an.

Veolia Transport se positionne ainsi de façon compétitive pour prendre part à la privatisation en cours des sociétés de ferries norvégiennes. Notre expérience fait de nous un acteur crédible pour développer ce mode de transport dans de nouvelles régions.

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Veolia Transport en Méditerranée

En 2006 Veolia Transport, en partenariat avec Butler Capital Partners et la CGMF, a signé les accords de la reprise de la SNCM (Société Nationale Corse Méditerranée). Nous détenons actuellement 28% du capital. Tout au long de l'année, la SNCM assure le transport de passagers et de véhicules entre le continent français et la Corse et des liaisons internationales vers la Sardaigne, la Tunisie et l'Algérie. En plus de sa principale activité, elle propose toute une gamme de services comme le fret, le transit international, des croisières, des congrès, des séminaires, ...

Pour en savoir plus ou pour réserver vos billets, connectez-vous à www.sncm.fr

Fidèles aux principes de Veolia Transport, les ferries se doivent d'être innovants

C'est ainsi que Veolia Transport dispose de ferries « lourds » en Norvège, pour assurer essentiellement des lignes maritimes régulières et des voyages organisés. A l'inverse, d'autres systèmes sont « légers » et particulièrement écologiques. C'est le cas du « Soleil du Léman » à Thonon-les-Bains. Il s'agit d'un catamaran non polluant, silencieux, stable, et fonctionnant à l'énergie solaire. De 14 mètres de long, il a la capacité d'accueillir 75 personnes pour la desserte d'un site écologique sur le lac Léman, mais assure également le transport entre les différentes zones urbaines situées en périphérie du lac.

Les ferries de Veolia Transport sont également utilisés pour des dessertes plus « classiques », ralliant des îles aux continents. Depuis près de 20 ans, nous gérons 365 jours sur 365 la desserte de l'île d'Aix, en Charente-Maritime. Deux navires assurent 12 traversées par jour en hiver et 36 en été, transportant 170 000 visiteurs sur l'île chaque année. Même chose dans les îles Anglo-Normandes, où nous assurons les liaisons au départ des ports du Cotentin. Jersey et Guernesey y sont les premières destinations.

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Même en bateau, Veolia Transport fait de l'intermodalité une priorité

Le tramway des mers à Toulon en est le meilleur exemple. Avec plus de 1,2 million de passagers, 45 000 traversées par an, le réseau de l'agglomération toulonnaise met en œuvre un service maritime unique en France. Entièrement harmonisées avec les lignes terrestres, tant sur le plan tarifaire que pour les horaires, les trois lignes maritimes assurent des liaisons quotidiennes entre les communes de Toulon, La Seyne - Les Sablettes et Saint-Mandrier.

Le Telegramme, TMC interdit de cale :

Belle-Ile-en-Mer. TMC interdit de cale

Coup dur pour TMC. Privé de cale, le Guedel doit se rabattre sur le bassin à flot du Palais dont l’accès lui est difficile en raison de son tirant d’eau. Le maire, lui, invoque des raisons de sécurité.

L’entreprise Transport maritime côtier (TMC) de Vannes fait construire un navire de 40 m par le chantier Merré, de Nort-sur-Erdre (44). Cette nouvelle unité, sistership de l’actuel Taillefer 3, assurera le transport de marchandises et matériaux entre le continent et Belle-Ile-en-Mer en remplacement de l’actuel Guedel. Ce nouveau Guedel III devrait être livré en novembre 2009 pour un prix de 3,5 M€... D’un tirant d’eau plus faible que le Guedel, il pourra rentrer sans problème dans le bassin à flot du Palais... Un détail d’une importance capitale dans le contexte actuel. En effet, depuis le 1 e r septembre, le vieux Guedel se voit interdire l’accès à la cale Bonnelle, avec pour seul recours le bassin à flot dont l’accès lui est très difficile en raison de son tirant d’eau... « Au départ, on nous a dit qu’il fallait laisser la priorité aux vedettes en août, ce qu’on a fait depuis trois ans... Mais au 1 e r septembre, on nous interdit l’accès », se désole Hubert O’Neil directeur de Transport maritime côtier.

Manque à gagner

Pour TMC, c’est la catastrophe : les trois voyages hebdomadaires sont impossibles et c’est la moitié de l’activité qui est remise en question : « Nos clients bellilois n’ont plus de marchandises. On livre quand même 40.000 t de granulats par an sur Belle-Ile. Pour nous, cela représente un manque à gagner de 570.000 €. » La raison de cette interdiction ? « Limiter la circulation des camions qui nous déchargent, soit 35 camions par semaine. Alors que les ferries du service public déchargent 20 camions/jour. C’est une discrimination », poursuit le patron de TMC, découragé. Ce dernier a écrit au maire du Palais. Et le conseil général vient de lui apporter son soutien.

Raisons de sécurité

Le maire du Palais, Frédéric Le Gars, justifie cette interdiction par des motifs de sécurité : « Celle du public à cause des camions qui passent sur les quais, celle des bâtiments car ces quais se déforment. Et celle de la ville qui est construite sur un banc de sable : les réseaux sont fragilisés et le passage des camions occasionne des vibrations, un peu comme le métro »... Des raisons de sécurité qui poussent le maire à recentrer le trafic sur le bassin à flot, même si l’accès à la cale Bonnelle est autorisé de « façon exceptionnelle ».

Bertrand Le Bagousse

M&Marine, La Vendée...

Assurant jusqu'en 2005 les liaisons avec l'Ile d'Yeu, le ferry côtier La Vendée devrait être vendu à une société parisienne pour effectuer du transport de passagers sur la Seine. Auparavant exploité par la Compagnie Yeu-continent (Propriété de la Régie départementale des Passages d'eau de la Vendée), le navire de 48 mètres de long et d'une capacité de 700 passagers et 20 voitures aurait intéressé, un temps, des intérêts comoriens, malgaches et africains. C'est ce qu'indique l'association Robin des Bois, qui rappelle qu'un autre navire auparavant exploité par Yeu-Continent, l'ex-Insula Oya, est toujours en activité au Gabon. Ce bateau navigue sous pavillon panaméen.
Construite en 1969 par les chantiers la Perrière de Lorient, la Vendée effectuait la traversée entre l'île d'Yeu et Fromentine en 1 h et quart à la vitesse de 12 nds, d'avril 1969 jusqu'à fin 2005, comme le rappelle le site Marine Marchande.net (*), d'où est extraite la photo illustrant cet article.

Environnement et Sécurité, le télégramme dec 07 :

M&Marine, bonne saison chez Corsica Ferries :

La compagnie Corsica Ferries a réalisé une bonne saison estivale vers l'île de Beauté. De mai à août, ses navires ont transporté 1.667 million de passagers soit près de 9% d'augmentation par rapport à la même période en 2007. Ces chiffres prennent en compte l'ensemble des lignes desservant la Corse, qu'il s'agisse des rotations vers le continent (Toulon et Nice) et de celles partant d'Italie (Savone, Livourne). Sur le seul mois d'août, Corsica Ferries a amélioré son trafic de 10,28 % à 671.137 passagers, en particulièrement depuis l'Italie (+13,45 %, 225.637 passagers). Selon Pierre Mattei, directeur général de Corsica Ferries : « Notre croissance est continue sur l'ensemble de nos lignes dans un contexte estival corse plutôt favorable cette année. Nous entendons cependant que cette dynamique se prolonge et nous allons pour cela augmenter sensiblement notre capacité sur la Corse en 2009. La prochaine mise en service du Mega Express V et l'arrivée du Mega Smeralda sur Toulon et Nice ainsi que la desserte de nuit sur Ajaccio avec séminaires et mini-croisières vont renforcer notre offre tant en quantité qu'en qualité. »
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archives janvier 2007 :
"La compagnie maritime a encore accru, en 2007, ses parts de marché vers l'Ile de Beauté. Avec 234.000 passagers supplémentaires l'an dernier, soit 2.35 millions de passagers transportés (+11%), Corsica Ferries assure 61% du trafic vers la Corse contre, selon ses chiffres, 22.9% à la SMCN et 5.8% à la Méridionale."

Le Télégramme, J.Porcher jette l'éponge :

Pêche : Jean Porcher jette l'éponge
L'armateur costarmoricain Jean Porcher a annoncé hier sa décision d'arrêter son activité en France pour s'installer à l'étranger. Deux de ses bateaux ont déjà été vendus.

« Les chefs d'entreprises sérieux comme moi sont considérés comme des voyous : on est des voleurs de poissons, on triche. Donc, d'ici un ou deux ans, c'est fini. On disparaît de la France. Puisque les gens qui ont le mal de mer veulent nous gérer, ils vont nous gérer ».

Joint par téléphone hier soir, Jean Porcher a lâché une information qui devrait faire beaucoup de bruit dans le monde de la pêche. Plus gros armateur privé de Bretagne-Nord, l'ancien matelot de Terre-Neuve, âgé de 59 ans, emploie aujourd'hui près de 165 personnes (dont 120 marins) et possédait, jusqu'à il y a peu, 15 chalutiers.

« État voyou »
Il y a un mois, il a décidé de vendre progressivement sa flotte. Cinq de ses bateaux ont donc été mis en vente et deux chalutiers de fond ont déjà trouvé preneur. Et l'avenir des 14 membres de ces deux embarcations n'est toujours pas déterminé.

À terme, celui qui est devenu patron pêcheur à 22 ans souhaiterait garder « quatre ou cinq » chalutiers. Avant de s'installer à l'étranger, dans un pays qu'il a déjà choisi mais dont il ne souhaite pas communiquer le nom.

Visiblement excédé contre ce qu'il nomme un « État voyou », l'armateur mûrissait sa décision depuis quatre à cinq mois. « Aujourd'hui, on nous dit que nos filets sont mal faits. Les règlements changent toutes les cinq minutes. Le poisson, c'est bon pour les Espagnols, pas pour nous. Il y en a marre ! »

Une filière en crise
La décision de l'armateur costarmoricain, dont l'entreprise est basée à Saint-Alban, intervient en pleine crise de la pêche en France.

Tension sur les prix, du fait de la mondialisation croissante des produits de la mer (80 % d'importation pour 20 % de produits locaux) ; tension sur les quantités, en raison des politiques de préservation de la ressource ; tension sur les marges, à cause du prix de l'énergie et des matières premières. Les causes de la crise sont connues.

Le SOS de la CCI 22
Lundi, la chambre de commerce et d'industrie des Côtes-d'Armor lançait d'ailleurs un « SOS » pour sauver la filière pêche. Aujourd'hui, c'est le navire amiral des Côtes-d'Armor qui risque de prendre le large.

Julien Vaillant - Le Télégramme

M&Marine, prévenir les abordages :

Afin de mieux former à la prévention des abordages en mer, l'Ecole de la Marine Marchande de Nantes vient de sortir, après 3 ans de travail dans le cadre d'un programme européen et avec un financement du Conseil régional, un DVD unique au monde, d'auto-apprentissage et d'évaluation des connaissances des règles de barre et de route en relation avec le règlement international. Très simple et intuitif, de niveau international en termes d'efficacité et de qualité, exhaustif et scientifique, le DVD sera présenté à l'occasion du séminaire Martins, organisé à l'Hôtel de Région à Nantes aujourd'hui et demain. Au cours de ce séminaire, plus de 120 professionnels de la mer et enseignants maritimes de 15 nationalités seront formés à ce nouveau logiciel. Du plaisancier au capitaine de navire chevronné, en passant par le marin pêcheur ou l'avocat spécialisé en droit maritime, tous les marins et amoureux de la mer, quelque soit leur niveau d'expertise, sont visés par ce logiciel convivial et attractif qui utilise massivement les images 3D.

Le Projet MARTINS (MARitime Training IN Safety) en bref....

Pour faire face aux risques élevés d'abordage, plusieurs partenaires se sont associés pour participer au Projet MARTINS (MARitime Training IN Safety), projet soutenu par l'Union Européenne, dans le cadre du Programme de coopération transnationale INTERREG III B, qui a pour objectif d'améliorer la qualité et la sécurité des mers de la zone Nord Ouest de l'Europe. L'Institut maritime néerlandais ROC ZEELAND (coordinateur du Projet), le Centre de formation maritime de Zeebrugge (Belgique), l'Ecole Nationale de la Marine Marchande de Nantes, le National Maritime College of Ireland, NAUSICAA le Centre National de la Mer, le South Tyneside College (Angleterre), ainsi que tous leurs réseaux de partenaires locaux et internationaux, doivent réaliser une étude sur la problématique de la sécurité de la navigation en Europe du Nord Ouest, et ont ainsi pris part à ce projet.

Remplacement au CE de G.Bertho :

Avant de subir la désinformation; informez -vous en lisant ceci:
Cela concerne le remplacement au CE de Gilles Bertho ( qui part en retraite et qu'on ne va pas louper !!! )
Il sera donc remplacé légalement par un suppléant CFDT ( Sébastien Lucas, André Blanchet, Isabelle Prestat )
La préférence allant à Sébastien qui est navigant, Dédé étant très pris par ses fonctions de Maire et Isabelle étant sédentaire et mère.
Le principe de ce texte étant ne ne pas remettre en cause la majorité détenu par un syndicat au CE à la première absence d'un titulaire.
Étant donné ce qui vient de se passer lors du vote pour ou contre les journées de 11h30, il ne fait aucun doute qu'il vaut mieux se fier à quelqu'un qui ne vous trahira pas; et j'ai toute confiance dans nos suppléants pour cela.
Je rappelle que lors du vote en question, un délégué syndical a voté pour les journées de 11h30 après avoir annoncé à tous qu'il était contre. Tout ça en essayant de faire avaler le contraire à ses collègues.
C'est vrai : il n' y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis ( c'est ce qu'il va vous dire ). Mais le fait de changer d'avis ne prouve pas pour autant que vous n'êtes pas un imbécile. J'ai à mon actif suffisamment d'imbécillités pour vous prouver cela !

Bon je suis sympa, j'ai surligné la partie qui nous intéresse.
Bonne lecture.

Claude.


Article L433-12

(Loi nº 73-4 du 2 janvier 1973 Journal Officiel du 3 janvier 1973)(Loi nº 82-915 du 28 octobre 1982 Journal Officiel du 29 octobre 1982)(Loi nº 82-915 du 28 octobre 1982 art. 32 VIII Journal Officiel du 29 octobre 1982)(Loi nº 89-18 du 13 janvier 1989 art. 59 Journal Officiel du 14 janvier 1989)(Loi nº 2001-152 du 19 février 2001 art. 1 I Journal Officiel du 20 février 2001)(Loi nº 2005-882 du 2 août 2005 art. 96 III Journal Officiel du 3 août 2005)


(Abrogé par Ordonnance nº 2007-329 du 12 mars 2007 art. 12 I Journal Officiel du 13 mars 2007 en vigueur au plus tard le 1er mars 2008)


Les membres du comité d'entreprise sont élus pour quatre ans; leur mandat est renouvelable.
Les fonctions de ces membres prennent fin par le décès, la démission, la résiliation du contrat de travail ou à la suite d'une condamnation entraînant la perte du droit d'éligibilité. Ils conservent leur mandat en cas de changement de catégorie professionnelle.
Tout membre du comité peut être révoqué en cours de mandat sur proposition faite par l'organisation syndicale qui l'a présenté et approuvé au scrutin secret par la majorité du collège électoral auquel il appartient.
Lorsqu'un membre titulaire cesse ses fonctions pour l'une des raisons susindiquées ou se trouve momentanément absent pour une cause quelconque, son remplacement est assuré par un membre suppléant appartenant à une liste présentée par l'organisation syndicale qui a présenté la liste sur laquelle le titulaire à remplacer a été élu, la priorité étant donnée au suppléant de la même catégorie.
S'il n'existe pas de suppléant élu sur une liste présentée par l'organisation syndicale qui a présenté le titulaire, le remplacement est assuré par le suppléant de la même catégorie qui a obtenu le plus grand nombre de voix.
Le suppléant devient titulaire jusqu'au retour de celui qu'il remplace ou jusqu'au renouvellement du comité d'entreprise.
Des élections partielles sont organisées à l'initiative de l'employeur si un collège électoral n'est plus représenté ou si le nombre des membres titulaires de la délégation du personnel est réduit de moitié ou plus, sauf si ces événements interviennent moins de six mois avant le terme du mandat des membres du comité d'entreprise.
Les élections partielles se déroulent dans les conditions fixées à l'article L. 433-10 pour pourvoir aux sièges vacants dans les collèges intéressés, sur la base des dispositions en vigueur lors de l'élection précédente.
Les candidats sont élus pour la durée du mandat restant à courir.

NOTA : Ordonnance 2007-329 2007-03-12 art. 14 : Les dispositions de la présente ordonnance entrent en vigueur en même temps que la partie réglementaire du nouveau code du travail et au plus tard le 1er mars 2008.

Le Télégramme, Belle-Ile. Naufrage d'une goélette :

Belle-Ile. Naufrage d'une goélette
Cette nuit, une goélette irlandaise de 32 mètres avec 25 personnes à bord a fait naufrage au large de Belle-Ile. Sans faire de victime. Récit.
Les naufragés, tous en bonne santé, ont été secourus par la SNSM (société nationale de sauvetage en mer), puis débarqués peu après 6 heures au Palais à Belle-Ile.
Visite : sur le pont
: poste équipage L'Asgard 2battant pavillon irlandais, propriété du ministère de la Défense de ce pays qui faisait route de Falmouth (Grande-Bretagne) à La Rochelle pour les festivités nautiques du Grand
Pavois, se situait à 12 miles (22 km) à l'ouest de Belle-Ile quand elle a signalé à 03H00 au CROSSA (Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage) d'Etel une
importante voie d'eau.

Tous évacués

Les passagers ont ensuite été évacués à bord des radeaux de survie à 4 heures et une opération de sauvetage a été déclenchée, alors que l'Asgard 2 était en train de couler, selon la préfecture maritime.

De même source, on a précisé que deux vedettes de la SNSM de Belle-Ile et de Groix (Morbihan) et deux hélicoptères ont été dépêchés sur les lieux du naufrage ainsi qu'un caboteur et la Belle Poule, une goélette de la marine nationale française, également déroutés.

Immergée entre deux eaux

Les moyens aériens ont constaté que l'épave était immergée entre deux eaux et présentait toujours un danger pour la navigation.

vidéo marine nationale

Escale à Douarnenez en mai dernier
L'Asgard II avait fait, le 10 mai, une brève escale au port du Rosmeur à Douarnenez, avant de mettre le cap, sur le port de Kinsale, dans le sud de l'Irlande.
Cette superbe brigantine, habituée du Rosmeur, a été construite en 1981 aux chantiers d'Arklow (Irlande).

Un voilier école
Exploitée par l'association Coiste an Asgard, cette goélette dépend du ministère de la Défense irlandais qui la confie à l'association, sous statut civil. Longue de 23,62 m (34,70 m hors tout) et d'une largeur de 6,40 m, cette goélette développe une surface de voilure de 450 m², pour un déplacement de 120 tonnes, elle est également équipée d'un moteur Gardner de 250 CV et peut accueillir à son bord 20 apprentis. À noter qu'elle a succédé au premier voilier du nom qui avait été construit en Norvège, en 1905. Racheté en 1968 par le gouvernement irlandais, l'Asgard I avait servi de navire école jusqu'en 1974, avant d'être transféré dans un musée à Kilmanhaim

Mer & Marine : TMC, nouveau caboteur

Les chantiers Merré, situés à Nort-sur-Erdre, près de Nantes, livreront en novembre 2009 un nouveau caboteur à la compagnie morbihannaise Transport Maritime Côtier. Identique au Taillefer 3, mis en service il y a quatre ans, le Guedel 3 mesurera 40 mètres de long et présentera un port en lourd de 600 tonnes. Sont coût est annoncé à 3.6 millions d'euros. TMC aligne actuellement une flotte de 5 navires.

PFA , Inspection du Travail :

 
 
 

DSP Conseil Général du finistère, Véolia sur les rangs :

Penn-ar-Bed

Le contrat signé pour une durée de 7 ans entre le conseil général du Finistère et la compagnie Penn-ar-Bed, prend une nouvelle fois fin après la saison 2008. Mais le conseil général va cette année prendre une décision plus précise. En effet, le contrat de « service préféré » entre la Penn-ar-Bed et le conseil général va se transformer en contrat de « service public » exclusif. L’appel d’offres à été lancé par le conseil général, pour reprendre les rènes de la compagnie, actuellement filiale de Keolis. Les deux autres groupes ayant répondu à cet appel sont Veolia transports et la compagnie morbihannaise de navigation. Après avoir visité la flotte et les moyens à terre de la compagnie Penn-ar-Bed, les trois groupes ont fait leurs propositions pour l’amélioration de la qualité de service de la compagnie. Le conseil général donnera sa réponse finale et définitive à l’automne 2008.

Comme prévu, l’Enez Eussa III gagnera les chantiers navals, pour une refonte totale (aménagements intérieurs, extérieurs,coque, cales, passerelle…). Cette refonte permettra à l’Enez Eussa III, qui fêtera alors ses 18 ans de service, de regagner la mer, pour une durée minimale de 10 ans.

D’autre part, l’avenir de l’André Colin est pour l’heure incertain. En effet, bon nombre de problèmes lui sont reprochés :

* navire imposant pour une faible capacité (196 passagers) mais y a-t'il une autre solution pour naviguer en mer d'Iroise au printemps et en Automne
* gros consommateur (2 moteurs de 2020 CV, tournant à plein régime et permettant d’atteindre 23 nœuds) ;
* salon passagers trop bruyants (sifflement de la turbo-soufflante), ainsi que le pont extérieur (ventilation) ;
* espace insuffisant entre les sièges ;
* emplacements bagages insuffisants.

En 2011, le Fromveur, datant de 1977, prendra sa retraite après 34 ans de services au sein de la compagnie. C’est un navire moderne qui prendra la suite. En effet, des procédures sont en cours pour la construction d’un navre mixte, du même type que l’Enez Eussa III (qui transporte 302 passagers, 25 tonnes de fret et 2 véhicules). Le nouveau navire devrait entrer en service pour la saison 2011. Il aura les mêmes dimensions que l’Enez Eussa III (1,5 mètre plus large?), et évoluera à la vitesse économique de 15 nœuds par beau temps sans courant. Sa capacité sera de 370 passagers et 10 à 15 tonnes de fret. Tout comme ses confrères de la compagnie, il sera aménagé pour l’accueil des personnes à mobilité réduite, avec, en plus, un ascenseur. Contrairement aux autres navires de la compagnie, l’espace extérieur sera couvert, au moins dans sa plus grande partie. Au niveau propulsion,des propositions seront faites pour des moteurs hybrides économiques.

Finist’mer
En 2007, la société morbihannaise de Navigation a perdu la délégation de service public pour la desserte des îles du Morbihan, dont elle assurait la liaison depuis plus de 50 ans. En effet, ces dessertes ont été confiées à Veolia, qui exploite dorénavant les navires du département du Morbihan. La SMN a dû reconstituer une flotte, et a partiellement racheté les quatre navires de la Finist’mer (Hervé de Portzmoguer, Rose Héré, Guillaume Seznec et Jacques de Thézac), avec lesquels, d’avril à septembre, elle effectuera les liaisons entre le continent et les îles du Morbihan. En 2008, trois compagnies sont donc sur le marché de la desserte des îles du Morbihan (SMN, compagnie Océane, compagnie des îles).

L’Hervé de Portzmoguer ne naviguera pour le compte de la SMN qu’uniquement les mois de juillet et août, en dehors desquels il restera basé à Nantes, pour continuer, pour le compte de la Finist’mer, les croisières-déjeuner dans l’estuaire de la Loire (marché qui se développe avec succès). Le Rose Héré, quant à lui, naviguera pour le compte de la Penn-ar-Bed en juillet et août.

Veolia et le port autonome de Nantes-Saint-Nazaire :

Les echos.fr

Veolia et le port autonome de Nantes-Saint-Nazaire s'associent pour une candidature commune à la délégation de service public (DSP) du port de commerce de Lorient (2,8 millions de tonnes, 9,3 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2007). Le port de Lorient a été transféré par l'État à la région Bretagne le 1er janvier 2007. C'est donc cette dernière qui choisira le concessionnaire.
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Ouest-France

mardi 02 septembre 2008

Ils avaient jusqu'au 26 août pour remettre leurs dossiers de candidature au conseil régional, après l'appel d'offres européen lancé pour le renouvellement de la concession du port de commerce. Les quatre candidats déclarés (Ouest-France du 19 juin) ont tous rempli le cahier des charges et ont rendu leur copie dans les délais. Il s'agit de la chambre de commerce et d'industrie du Morbihan, candidate à sa succession. Elle est concessionnaire de Kergroise depuis 1963; l'Omium maritime armoricain, opérateur portuaire basé à Lorient. Il revendique 60% du trafic, principalement dans l'import de vrac agroalimentaire. Le Port autonome de Nantes - Saint-Nazaire associé au groupe Veolia fait également acte de candidature. Enfin, la Compagnie industrielle maritime, filiale de la Compagnie nationale de navigation a également déposé son dossier à la région. La décision sera prise avant le 31 décembre 2008. Elle pourrait intervenir bien avant, même si au conseil régional, on se refuse à donner des indications précises sur le calendrier. A noter que les responsables de l'association des fournisseurs d'aliments du bétail, très concernés par le port de commerce de Lorient, ont déjà rencontré les quatres candidats.
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Le Telegramme :

Lorient. Quatre candidats pour le port de commerce
Qui reprendra la concession du port de commerce de Lorient ? Quatre candidats sont en lice, dont la CCI du Morbihan. Le dossier a été évoqué hier, lors de l'assemblée générale de la CCI.Concession du port de commerce de Lorient. La chambre de commerce et d'industrie du Morbihan s'est bien entendu porté candidate à sa succession dans le cadre de la délégation de service public du port de commerce pour les dix prochaines années. La CCIM gère ce port depuis 1889. Elle a été retenue par la Région, au même titre que trois autres candidats. Face à elle, la CCI retrouve le port autonome de Nantes-Saint-Nazaire, associé à la CEP, filiale de Véolia et déjà gestionnaire du port de pêche de Lorient ; l'OMA (Omnium maritime armoricain), entreprise de manutention implantée à Lorient ; et un quatrième candidat dont le nom ne filtre pas, surtout du côté de la Région qui refuse de communiquer. Une chose est sûre, si l'OMA a décidé de rentrer dans la danse ce n'est pas pour faire concurrence à la CCIM mais pour contrer le dossier Nantes-Saint-Nazaire-Véolia. Une façon de dire que les manutentionnaires lorientais ont leur mot à dire dans ce dossier. Du côté du président de la CCI, Jean-François Le Tallec, le ticket Nantes-Saint-Nazaire-Véolia surprend. « Le Morbihan n'a pas intérêt à ce que Nantes-Saint-Nazaire régente nos clients ». Sous-entendu, les tarifs qu'il pourrait pratiquer ne seraient pas forcément avantageux pour les entreprises du département, à commencer par celles de l'agroalimentaire qui profitent de l'outil lorientais. Dans l'immédiat, chacun doit répondre à l'appel d'offres avant le 26 août. Réponse de la Région avant le 31 décembre. Enquête emploi. Comme chaque année, la CCIM a mené une enquête sur l'emploi dans le Morbihan. 4.288 établissements de plus de cinq salariés ont été sollicités, 3.266 ont répondu. En 2007, l'emploi a progressé de + 1,3 %, soit 1.490 emplois supplémentaires. Une hausse supérieure à celles enregistrées ces cinq dernières années (+0,6 % en 2006). 65,2 % des emplois sont occupés par des femmes. C'est le tertiaire qui gagne le plus d'emploi en 2007. Quant à la répartition géographique, c'est à Ploërmel (+2,7 %) que l'emploi progresse le plus. Vannes arrive en deuxième position (+2,5 %) et Lorient ferme la marche (+0,4 %). Budget. « Le budget est bon », selon Jean-François Le Tallec. Un bon résultat porté par un port de commerce en bonne santé. 2,8 millions de tonnes ont transité par le port, ce qui représente un chiffre d'affaires de 9,3 M€. « C'est lié à un trafic alimentaire soutenu et à l'activité remorquage pour DCNS », explique Michel de Trogoff, directeur général de la CCIM. En revanche, le bilan de l'aéroport est nettement moins bon. Si le chiffre d'affaires est quasi identique à celui de 2006, la CCIM a subi un contrôle fiscal. Résultat, elle s'est fait aligner pour des problèmes de taxes foncières, de taxes professionnelles et de TVA. Sur ce dernier point, c'est la ligne Lorient-Lyon qui a posé problème. « Nous sommes subventionnés par l'État, or les services fiscaux estiment que cette ligne doit être soumise à la TVA. Le redressement fiscal est de 250.000 € ». Enfin, le fonds de roulement de la CCI est de 7 M€.

Participation des salariés dans l'entreprise :

SALAIRES FORFAITAIRES AU 1er SEPTEMBRE 2008

SYNDICAT MARITIME BRETAGNE CFDT
SALAIRES FORFAITAIRES AU 1er SEPTEMBRE 2008

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1ère : PAR AN 11,641.72 PAR MOIS 970.14 Par Jour 32.34
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2ème : PAR AN 14,479.32 PAR MOIS 1,206.61 Par Jour 40.22
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3ème : PAR AN 17,316.29 PAR MOIS 1,443.02 Par Jour 48.10
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4ème : PAR AN 19,101.93 PAR MOIS 1,591.83 Par Jour 53.06
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5ème : PAR AN 20,386.94 PAR MOIS 1,698.91 Par Jour 56.63
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6ème : PAR AN 21,094.52 PAR MOIS 1,757.88 Par Jour 58.60
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7ème : PAR AN 22,404.36 PAR MOIS 1,867.03 Par Jour 62.23
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8ème : PAR AN 23,580.94 PAR MOIS 1,965.08 Par Jour 65.50
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9ème : PAR AN 24,644.45 PAR MOIS 2,053.70 Par Jour 68.46
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10ème : PAR AN 26,188.75 PAR MOIS 2,182.40 Par Jour 72.75
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11ème : PAR AN 29,014.99 PAR MOIS 2,417.92 Par Jour 80.60
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12ème : PAR AN 30,868.29 PAR MOIS 2,572.36 Par Jour 85.75
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13ème : PAR AN 33,391.71 PAR MOIS 2,782.64 Par Jour 92.75
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14ème : PAR AN 35,915.16 PAR MOIS 2,992.93 Par Jour 99.76
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15ème : PAR AN 38,713.94 PAR MOIS 3,226.16 Par Jour 107.54
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16ème : PAR AN 41,678.47 PAR MOIS 3,473.21 Par Jour 115.77
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17ème : PAR AN 45,301.48 PAR MOIS 3,775.12 Par Jour 125.84
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18ème : PAR AN 49,921.84 PAR MOIS 4,160.15 Par Jour 138.67
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19ème : PAR AN 54,952.81 PAR MOIS 4,579.40 Par Jour 152.65
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20ème : PAR AN 60,378.96 PAR MOIS 5,031.58 Par Jour 167.72