samedi 30 juin 2012

Le controversé cadeau de mariage à Messier

En marge du mariage dispendieux de Jean-Marie Messier avec Christel Delaval, auquel Eric Besson était invité, Jean-Marie Messier a obtenu de Véolia une mission de 2,5 millions d'euros d'honoraires contestée pour s'occuper de la vente de Veolia Transport-Transdev.

(Jean-Marie Messier et son épouse - HADJ/SIPA)
(Jean-Marie Messier et son épouse - HADJ/SIPA)
L’ex-J6M, Jean-Marie Messier, s’est marié le 18 mai, au large de Miami, avec Christel Delaval, l’ex de Didier Schuller, Schuller des affaires HLM des Hauts de Seine et Schuller-Maréchal. L'ex-patron de Vivendi avait convié une quarantaine de ses proches amis, dont Eric Besson, comme l’a révélé Paris Match.
La deuxième partie des noces est prévue à Paris, les 15 et 16 juin prochains, et doit se terminer chez Ledoyen, où se retrouvera cette fois le tout-Paris… Bref, Messier l’ex-patron des années folles de Vivendi, n’est toujours pas regardant sur les dépenses.

Il aurait tort de se priver ! N’a-t-il pas obtenu 2,5 millions d’euros d’honoraires pour s’occuper de la vente de Veolia Transport-Transdev ? Une vente pour laquelle sa banque d’affaires (Messier Maris & Associés) ne semble pas jouer un grand rôle, puisque les acheteurs ont fait acte de candidature directement auprès de Veolia Environnement, tel le fonds Cube, ou de la CDC.

D’ailleurs, le département juridique de Veolia avait estimé à 900 000 euros le coût du « travail » de Messier. Et, lors du dernier Conseil d’administration de Veolia, le 15 mars dernier, plusieurs administrateurs ont manifesté leurs réticences, l’un d’entre eux ajoutant que « ce contrat était une faute ».

Mais Antoine Frérot, « travaillé » par un lobbyiste téléguidé par Messier, est passé outre et a signé pour les 2,5 millions réclamés par Jean-Marie. Elle est pas belle la vie ?

 Pierre Péan

mardi 26 juin 2012

La cession de Veolia Transdev se complique de plus en plus



La vente des actifs de Veolia Environnement qui détient 50% du capital de Veolia Transdev à parité avec la Caisse des Dépôts, risque de prendre beaucoup plus de temps que ne l'espérait Antoine Frérot. Si le fonds d'investissement luxembourgeois, Cube Infrastructure, a déposé une offre ferme le 8 juin 2012, les négociations financières mais aussi sur la gouvernance du nouveau groupe reconstitué s'annoncent compliquées.


Antoine Frérot (à gauche), le 6 décembre 2011, lors de l'Investor Day,
 au cours duquel il a annoncé la volonté de Veolia Environnement 
de céder sa participation dans Veolia Transdev. © N.A
 
Lorsqu'il a officialisé la volonté de son groupe de se désengager de l'activité transport, le 6 décembre 2011 lors de l'Investor Day (photo), Antoine Frérot avait tout d'abord avancé un délai raisonnable de deux ans. Quelques jours plus tard, optimiste, le patron de Veolia Environnement (VE) espérait boucler le dossier d'ici à fin 2012.

Même si le fonds d'investissement luxembourgeois Cube Infrastructure, filiale de Natixis, a déposé début juin une offre ferme pour cette reprise (information révélée par les Echos puis Le Monde du 12 juin), "Cela risque de durer un certain temps, c'est compromis pour la fin de l'année", commente un proche du dossier. Contacté par Mobilicités, Cube de son côté, se refuse à tout commentaire.

L'offre du repreneur comporterait deux volets, selon Le Monde : tout d'abord, Cube s'engagerait à reprendre la partie de la dette de Veolia dans sa filiale de transport public, soit 900 millions d'euros (les 900 autres millions de dette sont à la charge de la Caisse des Dépôts et consignations (CDC), l'autre actionnaire à parité avec Veolia dans Veolia Transdev).
Cube proposerait aussi de verser une soulte de 175 millions pour devenir propriétaire de la totalité de la participation de Veolia dans sa filiale transport. Toujours selon Le Monde, cette somme serait inférieure de 75 millions d'euros à la valeur des actions Veolia Transdev inscrites dans les comptes de VE.

Deuxième essai de Cube

Pour rappel, début 2012, les dirigeants de VE étaient entrés en négociation exclusive avec Cube Infrastructure (lire). A l'issue de ce délai, le 1er mai, rien ou presque. Cube n'avait pas mis sur la table les moyens financiers pour reprendre la totalité des actifs de VE dans Veolia Transdev
Tout de suite après, un opérateur industriel allemand avait fait une offre. Selon les informations du Monde, ce deuxième candidat aurait finalement été éconduit. Information non confirmée par les intéressés qui se refusent à tout commentaire.

La CDC, l'autre actionnaire à 50% de Veolia Transdev, aurait-elle opposé son véto à l'arrivée d'un partenaire non pas financier mais industriel ? En effet, Rethmann est un opérateur de transport routier et de voyageurs outre-Rhin, et même l'ancien partenaire de Keolis dans Rhenus, entreprise ferroviaire régionale allemande (lire notre précédent article sur ce sujet).

"La Caisse des Dépôts a bon dos, commente-t-on rue de Lille, où l'on est visiblement agacé. "Le fait que l'actuel dirigeant de la Caisse soit en intérim (Augustin de Romanet a quitté ses fonctions avant l'élection présidentielle de mai, et son sucesseur définitif n'a pas encore été nommé par François Hollande, ndlr), n'a aucune influence sur le dossier Veolia Transdev", se défend un porteparole avant même que l'on ne pose la question de l'intérim.


Ménage à trois ?

Depuis l'annonce du désengagement de Veolia Environnement, la Caisse des Dépôts, sans doute furieuse de voir le partenaire avec lequel elle venait de signer un accord de fusion quitter si vite le navire (lire notre article sur la fusion en mai 2011), a posé, il est vrai, un certain nombre de conditions :
  • d'une part, le repreneur doit en priorité être un partenaire financier et pas un opérateur industriel,
  • d'autre part, les ambitions internationales de Veolia Transdev implantées dans 27 pays ne doivent pas être démenties.
Donc, pas question de démembrer l'entreprise ou de vendre les parts de Veolia par appartement. "Il est clair que le projet de l'entreprise n'est pas d'avoir une base géographique étriquée", commente un proche du dossier.
Mais pour financer cet appétit mondial, il faut des moyens. Or, selon les informations du Monde, Cube Infrastructure préfèrererait céder une partie des activités internationales de Veolia Transdev pour se recentrer sur l'Europe. Interrogé par Mobilicités, Cube s'est refusé également à toute explication.


Gouvernance

L'autre écueil, c'est la gouvernance du futur ensemble reconstitué. Avant son départ, le 7 mars 2012, Augustin de Romanet avait annoncé la détermination du bras armé de l'Etat de rester actionnaire majoritaire dans le groupe de transport public, voire de monter au capital. "Son sucesseur par intérim, Antoine Gosset-Grainville", ne dit pas le contraire, assure un porteparole de la Caisse.
Mais, au final, ce ne sera sans doute pas lui qui décidera du sort de Veolia Transdev, lequel sera forcément rebaptisé après le départ de veolia ou la cession partielle de ses actifs. Et qui en prendra la tête ? 

Selon un proche des négociations cité par Le Monde, "La CDC veut profiter du changement d'actionnaire pour imposer l'un des siens à la direction ou à la présidence de Transdev". Ce qui "commence à faire beaucoup pour un repreneur", poursuit-il.
Entre les aspects financiers et la bataille pour la gouvernance du nouvel ensemble, le bouclage du dossier semble encore bien loin.

Nathalie Arensonas

Rouliers des armées : La CFDT Maritime réclame des navires 100% français


Un roulier affrété débarquant un canon Caesar au Liban
crédits : EMA


26/06/2012

Les syndicats de la Marine marchande montent également au créneau sur le dossier des futurs rouliers destinés à transporter les matériels militaires vers les bases outre-mer et les théâtres d'opérations extérieurs. Ainsi, la CFDT Maritime Normandie demande que les futurs navires soient armés avec des équipages français et réalisés à Saint-Nazaire. Alors que le ministère de la Défense et CMA CGM sont entrés en négociations exclusives en vue de signer le contrat destiné à assurer la logistique maritime des armées françaises, le syndicat a écrit le 29 mai dernier au ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, auquel il demande un rendez-vous. « Notre organisation syndicale reste attentive au contenu du cahier des charges inhérent à cet appel d'offres, notamment en ce qui concerne l'armement des futurs navires. Il serait difficilement concevable qu'un tel projet financé par l'Etat ne se traduise pas par des retombées économiques liées à la création d'emplois dans le secteur de la Marine marchande française », explique la CFDT, qui rappelle que les difficultés économiques rencontrées ces dernières années ont « entrainé le déclin de la flotte française et des emplois de navigants ».

Des équipages tricolores

Pour l'heure, les négociations se poursuivent donc entre le ministère et CMA CGM, avec pour objectif d'aboutir à une signature cet été pour une mise en oeuvre de ce contrat de partenariat public privé (PPP) en 2014. Pour assurer les besoins en transport des armées, une flotte de cinq nouveaux navires rouliers doit être construite. Deux seront affrétés à l'année par le ministère de la Défense pour assurer le service courant, les trois autres devant pouvoir être mis à disposition sous faible préavis pour répondre à d'éventuels besoins de projection. En dehors de ses périodes militaires, cette flottille de complément sera exploitée sur les lignes commerciales de CMA CGM. Le groupe compte armer les futurs navires sous pavillon français, mais cela ne signifie pas que les équipages seront constitués exclusivement de nationaux. Avec le Registre International Français (RIF), seuls quelques officiers peuvent en effet être de nationalité française, sur la vingtaine de membres d'équipage armant ce type de bateau. Dans ces conditions, la CFDT réclame des engagements de l'Etat et de l'armateur afin que les équipages soient 100% français, au moins pour les deux navires qui seront affrétés à l'année par les armées.

« Nous soutenons pleinement l'action des camarades de STX France »

En dehors de la question des équipages, le syndicat apporte également soutien à la CFDT de STX France, qui demande, comme d'autres organisations du chantier, que les futurs navires soient réalisés à Saint-Nazaire, où la charge de travail va considérablement baisser dans les mois qui viennent. « Tant la construction que l'armement de ces navires doivent être générateurs d'emplois en France, puisqu'il s'agit d'un marché public. Pour nous, construire ces rouliers à Saint-Nazaire est une évidence et nous soutenons pleinement l'action de nos camarades de STX France. Concernant la rencontre que nous demandons à Jean-Yves Le Drian, nous avons d'ailleurs proposé que nous y allions en délégation commune ».
Du côté de la CFDT de STX France, on rappelle que ces rouliers peuvent constituer une véritable bouée de sauvetage pour Saint-Nazaire : « Alors que le carnet de commande de STX est vide et qu'il est urgent de retrouver du travail pour les bureaux d'études et les ateliers, c'est une opportunité que nous ne pouvons laisser passer pour les salariés de la navale et le bassin d'emploi de Saint-Nazaire. Alors que CMA CGM bénéficie de commandes d'Etat, nous demandons la conditionnalité de ces contrats à la construction de ces bateaux en France », explique la CFDT des chantiers, dont l'appel a été relayé par la Fédération Générale de la Marine marchande.

jeudi 14 juin 2012

Des nouvelles de Seafrance ...

 SeaFrance : « Nous allons y aller par étapes successives »



crédits : LE TELEGRAMME / PHILIP PLISSON


13/06/2012

Jean-Michel Giguet dévoile sa feuille de route. L'ancien président du directoire de Brittany Ferries va piloter la Scop, chargée d'exploiter SeaFrance, dont les actifs ont été attribués lundi à Eurotunnel par le tribunal de commerce de Paris. L'ancienne filiale de la SNCF, dont la liquidation judiciaire a été prononcée en janvier dernier, va connaître un nouveau départ avec trois navires : les ferries Rodin et Berlioz, ainsi que le fréteur Nord-Pas-de-Calais. Interrogé par notre consoeur Catherine Magueur, du Télégramme, Jean-Michel Giguet explique comment la compagnie va remonter en puissance.
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Le tribunal de commerce de Paris a décidé lundi d'attribuer à Eurotunnel l'exploitation des trois navires de SeaFrance entre Douvres et Calais, par le biais d'une Scop, une coopérative ouvrière que vous allez piloter. Quelle est votre réaction ?
JEAN-MICHEL GIGUET : Je suis très satisfait à titre personnel, satisfait à l'égard d'Eurotunnel, qui s'est lancé dans cette activité, et évidemment satisfait de voir une solution pour les ex-salariés de Seafrance qui vont demain, pour une partie d'entre eux, retrouver du travail et de l'espoir. Aujourd'hui, je me dis : « Ça valait la peine de se battre ! ».

Quel est le détail des opérations ?
L'offre d'Eurotunnel, c'était de reprendre, pour 65 millions d'euros, la totalité des actifs, c'est-à-dire les navires portés par une société qui ensuite les affrétera à la Scop, qui est dans cette affaire l'armateur, la société chargée d'assurer le transport des passagers et du fret. Les actifs comportent aussi le système de réservation fret et passagers, le système de gestion et le fichier clients. La société commerciale portera le nom de SeaFrance.

Quand les bateaux vont-ils pouvoir reprendre la mer ?
Ils sont arrêtés depuis huit mois. Nous allons d'abord procéder à des arrêts techniques courts pour le Berlioz et le Rodin, pour pouvoir retrouver les certificats de navigation, remettre ces navires aux normes et aux standards tels que la clientèle peut l'exiger. Nous allons donc procéder à des travaux de propreté et de sécurité, afin qu'ils puissent assurer dans les meilleures conditions le transport de passagers sur le détroit. J'espère pouvoir les remettre en service pour la mi-juillet, afin de profiter encore de la saison et de l'afflux de passagers lié aux vacances d'été en Angleterre.

Combien de salariés allez-vous recruter ?
Malheureusement, tous les anciens salariés de SeaFrance ne vont pas immédiatement retrouver un travail. Il va falloir un peu de patience, cela fait partie de la complexité de la remise en service de la compagnie. Nous allons y aller par étapes successives. Les remises en service du Rodin et du Berlioz supposent le recrutement, dans un premier temps, de 250 navigants pour ces deux bateaux. Il faudra aussi recruter du personnel pour gérer les opérations portuaires à Calais. Et nous avons également besoin de reconstituer les équipes commerciales, afin de remettre le client au centre de nos préoccupations. Car, dans ces histoires, le client semble avoir été complètement abandonné. Par ailleurs, la Scop devient une entreprise calaisienne. Le siège, qui était à Paris, va être transféré à Calais, ce qui impliquera l'embauche de personnels administratifs.

Vous parlez d'une première étape. Quelle sera la suite ?
Dans un second temps, nous allons remettre le Nord-Pas-de Calais en service. Le navire va subir, cet été, un arrêt technique complet pour afin qu'il soit disponible après la saison, probablement en septembre. L'intérêt est que nous pourrons alors procéder aux arrêts techniques des Rodin et Berlioz, en janvier prochain. Le Nord-Pas-de-Calais pourra les remplacer. Dans le même temps, il y aura une montée en puissance des effectifs pour atteindre l'objectif d'environ 520 à 550 salariés à l'horizon 2013, quand tout sera mis en service. Nous recruterons aussi 70 personnes en Angleterre, où nous conservons une filiale, pour les activités commerciales et marketing, ainsi que les opérations portuaires à Douvres.

La décision du tribunal de commerce de Paris a été reportée à plusieurs reprises. On évoquait, notamment, le problème des créances de SeaFrance vis-à-vis de son ancienne maison-mère, la SNCF. Certains journaux ont évoqué le chiffre de 180 millions d'euros, une somme dont le groupe ferroviaire aurait fait le deuil afin de permettre la reprise de SeaFrance. Quelles sont vos informations à ce sujet ?
Je n'ai pas d'informations précises. Il s'agit d'un accord avec le tribunal, cela concerne la SNCF et le ministère de tutelle.

Le nouveau ministre des Transports, qui était maire de Boulogne avant d'entrer au gouvernement, ne semblait pas convaincu, il y a quelques semaines, par le projet de la Scop. Pourtant, lundi, Frédéric Cuvillier a salué « Une solution pérenne sur le plan économique et favorable à l'emploi ». Qu'en pensez-vous ?
Il a bien compris que la Scop allait fonctionner de manière sérieuse et normale, c'est-à-dire qu'il s'agit d'une SA avec un mode de gouvernance classique. La différence, c'est que les salariés sont actionnaires de la Scop, donc responsables collectivement des résultats. Les salariés feront un apport personnel au capital de la Scop pour démontrer qu'ils ont une réelle conviction et une réelle motivation dans le fait que la société puisse dégager des profits. Ils participent à titre individuel, au capital, à hauteur de 5000 euros. C'est un moyen de démontrer qu'ils croient au système et à une activité entre Douvres et Calais.

La gestion de SeaFrance a fait l'objet de beaucoup de critiques. Est-ce aujourd'hui un nouveau départ ? Quel est l'état d'esprit des anciens salariés ?
J'en ai rencontré beaucoup. Ce sont des gens à qui ont va pourvoir redonner une fierté d'appartenir à une compagnie alors qu'ils ont été passablement maltraités par des amalgames qui ont été faits et qui ne concernent pas la grande majorité des salariés de SeaFrance. Ceux-ci sont des gens compétents, sérieux, des marins, des gens de métier.
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Propos recueillis hier par Catherine Magueur © Le Télégramme, juin 2012

mardi 12 juin 2012

Élection du bureau de l'Union Fédérale Maritime



Paris, le 07 MAI 2012
DÉLIBÉRATION DU CONSEIL DE
L’UNION FÉDÉRALE MARITIME

DU 06 mai 2012


Le conseil de l’UFM après avoir entendu le point sur la situation de l’Union fédérale donne mandat au bureau pour prendre toutes les mesures  urgentes et nécessaires Pour ce faire le Bureau s’attachera à faire le bilan afin de répondre à ces objectifs.
Le bureau rendra compte de ses travaux et soumettra les mesures envisagées au Conseil.

Sur la base de ce mandat, le Conseil de l’UFM, réuni à la demande de la FGTE-CFDT, a procédé à une élection complémentaire du bureau conformément à l’article 6.2 de ses statuts.

Six candidats se déclarent pour compléter le Bureau déjà constitué de :

Sylvie ROUX – Sauveur FELE – Marcel TANGUY – Joël JOUHAUT

Ont été élus :

François YVON – Claude HUCHET – Pierre-Yves ABMONES – Philippe FERRONI – Hervé SEGUIN – Corinne ARCHAMBAUD

A l’issue de ce vote, le Bureau s’est réuni et a procédé à l’élection d’un Secrétaire et d’un Trésorier.
Ainsi qu’à l’élection d’un secrétaire Adjoint et d’un trésorier adjoint :

Secrétaire Général de l’Union Fédérale Maritime: Sauveur FELE

Trésorier de l’Union Fédérale Maritime: Marcel TANGUY

Secrétaire générale Adjointe de l’Union Fédérale Maritime: Sylvie ROUX

Trésorier Adjoint de l’Union Fédérale Maritime: Pierre-Yves ABOMNES



 P/ Le Secrétariat Fédéral
 Le secrétaire général  
André MILAN